Contrairement à l’année précédente, qui a enregistré 10 transplantations, l’hôpital rénal de Daksi compte pour cette année relever le défi, surtout face aux besoins exprimés. Selon le conférencier, 80 demandes de transplantation rénale, provenant de plusieurs wilayas, sont en instance. Et si les conditions le permettent cette année, une cadence d’une transplantation par semaine sera envisagée. Il ressort des propos du professeur Dahdouh que c’est la sérénité qui s’est de nouveau installée à l’hôpital, ainsi qu’un meilleur cadre relationnel entre les équipes médicales, qui ont influé sur l’activité médicale. Ceci pour dire qu’il y a une meilleure prise en charge des malades grâce au regain de confiance au sein du personnel de la clinique. Interrogé sur l’absence du professeur Bendjaballah, qui avait en charge la greffe rénale à Daksi, le professeur Dahdouh dira que la greffe rénale n’est pas liée à une seule personne et les portes de l’hôpital sont ouvertes à toute compétence voulant pratiquer ce genre d’intervention.

S. B.