La fatigue est le premier symptôme d’un problème de thyroïde. L’asthénie qui est l’épuisement général sans avoir fait d’effort se rencontre dans 99 % des cas d’hypothyroïdie. Les spécialistes expliquent que la prise de poids, la nervosité, le début d’une dépression, des épisodes de constipation ou encore la chute de cheveux et aussi troubles de la mémoire sont souvent les premiers symptômes. Ces signes peuvent révéler un problème d’hyper ou d’hypothyroïdie.

La fatigue musculaire est aussi un signe d’hyperthyroïdie. Elle se couple à des troubles du sommeil de type insomnie car l’organisme est en suractivité.

Les spécialistes soulignent que « La thyroïde est une glande endocrine située à la partie antérieure du cou et qui joue un rôle important sur le métabolisme de l’ensemble des cellules de l’organisme ainsi que sur la croissance et le développement du cerveau au cours des premiers mois de vie ». Le mauvais fonctionnement de la thyroïde peut engendrer plusieurs maladies.

La maladie la plus fréquente est une simple augmentation de la taille de la thyroïde, dite goitre. Elle peut présenter une exagération de son fonctionnement dans l’hyperthyroïdie, ou bien une insuffisance de son fonctionnement dans l’hypothyroïdie. Comme il existe aussi d’autres troubles plus rares comme les thyroïdites ou les néoplasies.

Il existe plusieurs pathologies de la thyroïde. Elles sont fréquentes et s’accroissent avec l’âge, notamment chez les femmes. L’hypothyroïdie décrit la baisse des hormones thyroïdiennes et entraîne entre autres, un ralentissement du rythme cardiaque, une prise de poids et une frilosité.

L’hyperthyroïdie, à l’inverse, est caractérisée par l’augmentation des hormones thyroïdienne. Elle entraîne une augmentation du rythme cardiaque, un amaigrissement et une augmentation de la température corporelle. La thyroïde peut également être simplement inflammée ou être recouverte de nodules.

Il faut savoir que la glande thyroïde est la plus grande glande du corps humain. Elle mesure 6 centimètres. En forme de papillon, située au niveau du cou, elle secrète des hormones permettant de réguler le métabolisme du corps humain, c’est-à-dire l’utilisation de l’énergie et la sécrétion d’hormones.

« La dernière assemblée générale de notre association a procédé à l’élection d’un nouveau bureau que j’ai l’honneur et le privilège de présider en succession de mon très cher ami le Dr Ali RAMI. Dés son élection le nouveau bureau s’est consacré à la mise en conformité des statuts de l’association, et a obtenu auprès des autorités, son passage au rang d’association à caractère national.

Le mot du président

Lancement du 1er numéro d’une revue spécialisée en 2015

La dénomination de l’association change et devient donc « Association Algérienne des Chirurgiens Libéraux » ou « AACL » Les objectifs du nouveau bureau, dont la composition est détaillée ci-dessous, sont donner réellement une dimension nationale en augmentant le nombre d’adhérents chirurgiens libéraux qui exercent sur l’ensemble du territoire national. « Lancer au cours de l’année 2015 le premier numéro d’une revue spécialisée, a indiqué le président de l’AACL, le Dr Zaky Mustapha Chaouchaoui.