Outre l’ampleur de la maladie, le profil épidémiologique, le rapport met en exergue tous les dysfonctionnements dans le diagnostic et la prise en charge de la maladie cancéreuse.

Les rédacteurs du rapport confirment donc que l’Algérie enregistre 45 000 nouveaux cas de cancer par an (2013), une incidence des 4 premiers cancers, identique à celle des pays industrialisés. Sept tumeurs représentent 70% de tous les cancers, toutes localisations confondues chez les hommes et les femmes, a-t-on également souligné.

Ce rapport préliminaire consacre une série de recommandations en termes de prévention primaire, diagnostic et prise en charge.
Le rapport suggère la contribution de la sécurité sociale pour la mise en place de ce plan national de lutte contre le cancer, avec les conventionnements des structures privées et publiques.

Djamila Kourta