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El Watan | Algérie | 08/12/2013
Pour le secrétaire général de la SAOM, le Pr Bounedjar, du service d’oncologie à l’hôpital de Blida, cette rencontre a pour but d’assurer une formation continue à travers les différentes expériences présentées par les collègues français, libanais et égyptiens. Il a rappelé que les cancers de la vessie et de la prostate sont en nette augmentation en Algérie, surtout avec la forte consommation de tabac et le prolongement de l’espérance de vie de la population algérienne.
Sur les 40 000 nouveaux cas de cancer toutes localisations confondues, 6000 nouveaux cas de cancer de la prostate et 5000 cas de cancer de la vessie sont diagnostiqués. Les deux formes de cancer qui touchent principalement les hommes sont actuellement bien pris en charge, notamment en chirurgie et en oncologie. L’accès à la radiothérapie reste encore limité, mais avec l’ouverture prochaine de certains centres, on pourra espérer une amélioration, car il faut savoir qu’on peut guérir d’un cancer de la prostate et de celui de la vessie si tous les traitements, que ce soit par la chirurgie, la chimiothérapie, l’ hormonothérapie et la radiothérapie sont assurés dans les temps.
Par ailleurs, en marge de ces travaux, deux ateliers organisés par le laboratoire Roche ont été consacrés à la prise en charge des patients présentant des cancers métastatiques. Ces ateliers animés par Mme Lozano Sylvie, cadre formateur de l’Association française des infirmiers en cancérologie, sont destinés aux paramédicaux des services d’oncologie de l’Est, l’ouest et le centre du pays (130) pour assurer le suivi des patients sous traitement de chimiothérapie afin d’éviter les effets secondaire de certains produits. «Ils sont tenus de faire le suivi en respectant certains gestes médicaux très faciles, tels que la prise de tension avant, pendant et après la cure de chimiothérapie chez les patients sous Avastin», ont expliqué les organisateurs. Le 2e atelier a été consacré aux conditions d’utilisation de la «chambre implantable» en insistant sur l’asepsie.
Djamila Kourta
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