«Les services de maintenance en Algérie ne fonctionnent pas bien. Notre pays acquiert chèrement du matériel qui n’est pas entretenu et souvent tombe en panne. Actuellement, il existe un très grand marché de lasers médicaux, mais les entreprises n’assurent pas le service après-vente», a-t-il dit, appelant à cette occasion les autorités concernées à imposer à ces sociétés cette exigence dans les transactions et pourquoi pas un contrôle. «Il faut que les autorités se penchent sur le problème en serrant les vis à ces sociétés qui devraient se soumettre aux règles appliquées sous d’autres cieux», a indiqué le Dr Benkaïdali qui a souligné que «l’Algérie n’est pas un bazar où le premier venu écoule son matériel sans aucun respect des garanties de survie». Il a insisté, dans ce cadre, sur la nécessité d’éviter que ces sociétés recourent à des «subterfuges pour justifier leur incapacité à mettre à notre disposition des pièces de rechange ou trouver les failles des pannes», évoquant à ce sujet l’éventualité également d’une mauvaise qualité de ces équipements.