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Revue de presse

Cliniques privées à Souk Ahras : la césarienne rendue inévitable

El Watan | Algérie | 01/09/2013

L’on parle surtout de l’absence d’un équipement prénatal dans certaines cliniques privées, alors que les douleurs foetales demandent des soins particuliers. Je considère que lorsque 90% des parturientes sont soumises à des opérations césariennes dans les cliniques privées par les gynécologues traitants et que celles admises au niveau des structures publiques mettent au monde leurs nouveaux-nés par voie basse, la situation devient fort intrigante», nous a récemment déclaré un médecin qui a requis l’anonymat. Plusieurs citoyens sont de cet avis.

«Au troisième accouchement, mon gynécologue traitant m’a demandé de subir une intervention chirurgicale alors que j’étais persuadée que je ne souffrais d’aucune complication», estime Salima, une jeune dame qui dit avoir déboursé 60 000 DA pour une opération césarienne qu’elle n’aurait pas dû subir. Mustapha est aussi formel quant à l’arnaque dont il aurait fait l’objet mais s’inquiète beaucoup plus sur le préjudice physique causé à son conjoint.

«Je suis convaincu que le cas de ma femme ne nécessitait guère un bistouri pour mettre au monde mon deuxième enfant», a-t-il ajouté. Chez les professionnels, l’on parle surtout de l’absence d’un équipement prénatal dans certaines cliniques privées. «Les douleurs foetales demandent des soins particuliers et les moyens mis à la disposition des praticiens exerçant dans les cliniques privées sont en deçà des normes», estime une source médicale. L’absence de couveuses et le transfert des nouveaux-nés vers les structures hospitalières publiques posent une foultitude de problèmes, dont certains décès enregistrés sur les documents des hôpitaux étatiques, alors qu’en réalité la naissance a eu lieu sous les auspices du staff médical de la clinique privée. Contacté par téléphone, à ce sujet, le représentant local de l’ordre des médecins a déclaré ceci : «Nous sommes au courant de la situation et nous nous réservons le droit d’enquêter sur ce sujet.»

Abderrahmane Djafri

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