Le ministre s’est enquis, par ailleurs, des travaux de l’institut paramédical de Aïn Beïda qui accusent un grand retard. Il a instruit les responsables en charge du projet de le livrer à la rentrée prochaine. Dans un autre registre, il a procédé à l’inauguration de deux urgences médico-chirurgicales, l’une à Aïn Beïda et l’autre à Meskiana, alors qu’au chef-lieu, c’est une nouvelle polyclinique qui a vu le jour au profit des habitants de la nouvelle ville Makomadès.

Reste l’EPS Boumali (hôpital mère et enfant), qui, bien qu’achevé, n’est pas encore fonctionnel. Cet établissement spécialisé devrait couvrir les besoins de toute la région en matière de gynécologie et de pédiatrie. Il devrait fonctionner avec quatre gynéco-obstétriciens, quatre chirurgiens pédiatres et quatre pédiatres. A l’heure qu’il est, il ne manque plus que l’installation de certains équipements concernant le bloc opératoire et la radiologie. L’autre problème auquel est confronté le secteur, est le chômage de plusieurs dizaines de diplômés en pharmacie. Depuis 2007, aucune nouvelle officine n’a vu le jour dans la wilaya.

Baâziz Lazhar