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Revue de presse

Chirurgie dentaire : le rôle du dentiste dans la prévention de certaines maladies

El Watan | Algérie | 26/05/2013

Le rôle du chirurgien dentiste dans la santé publique est primordial, a tenu à souligner le président de l’Ordre régional des médecins dentistes d’Alger. Le docteur Adoun estime, en marge des travaux des 10es Journées de déontologie médicale organisées hier à Alger, sous le thème «Médecin dentiste et santé publique» que le médecin dentiste a un rôle à jouer dans la prévention contre certaines maladies chroniques à travers son activité.

Il doit être impliqué dans le dépistage des maladies des muqueuses buccales en général. «Il est l’avant-poste pour le dépistage des lésions à risque, des lésions précancéreuses et du cancers de la cavité buccale, surtout chez les patients à risque, lors de la toute première visite. Comme il peut également prévenir certaines cardiopathies d’origine dentaire, les sunistes, les uvéites», a-t-il souligné.

La prise en charge de la région bucco-dentaire est très sensible, ajoute le Dr Adoun, surtout dans la prise en charge des patients à risque, tels que les leucémiques, les diabétiques et les hypertendus.
Les patients traités aux biphosphonates, telles que les femmes souffrant de l’ostéoporose, risquent de faire des complications odontostomatologiques de type ostéonecrose des maxillaires, survenant après un geste chirurgical. C’est pourquoi, le dentiste doit avoir ces connaissances pour éviter des erreurs.

Quant aux questions liées à l’hygiène dans les cabinets dentaires, le président de l’ordre régional estime que le conseil reste vigilant sur ce sujet tout en faisant référence aux trois paramètres essentiels de la pratique dans tous les cabinets médicaux. Il s’agit, a-t-il signalé, du respet des normes de conformité du local qui doit répondre à un cahier des charges. Une fois ce point mis en place, on peut parler de l’hygiène macroscopique et arriver à l’hygiène microscopique, à savoir l’asepsie.

Au sujet de l’utilisation de l'autoclave, sur lequel une polémique est engagée, le Dr Adoun estime que ce matériel est le dernier maillon de la chaîne. «Il faut comprendre que l’autoclave stérilise un matériel propre. Il est donc important de savoir qu’avant d’arriver à l’autoclave, il faut procéder à la décontamination, au lavage, rinçage et séchage. Il y a une autre étape, le bac à ultrasons, qui intervient avant de passer à l’autoclave», a-t-il expliqué. Et de rappeler que «cela est valable pour tous les cabinets médicaux qui utilisent du matériel et qu’on arrête de focaliser sur les médecins dentistes», a-t-il ajouté.

Le Dr Adoun reconnaît par ailleurs que de nombreux cabinets dentaires nécessitent une rénovation et une remise à niveau, mais pour ce faire, des moyens financiers colossaux sont nécessaires.

«C’est pour quoi, le conseil de l’ordre lance un appel aux autorités pour l'octroi de prêts sans intérêts pour les concernés. C’est à partir de là que l’on peut vraiment être exigeants et sévir contre les contrevenants», a-t-il dit.

Le laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques (LNCPP) : désigné par l’OMS centre collaborateur pour la quatrième fois.

Le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques est désigné par l’OMS pour la quatrième fois en tant que centre collaborateur de l’OMS pour une durée de quatre années à compter du 29 janvier 2013 jusqu'au 29 janvier 2017, à moins qu’une nouvelle désignation ne soit approuvée par la même organisation avant cette date.

Le représentant de l’OMS région Afrique à souligné dans sa correspondance au directeur général du LNCPP, M. Benslimane Mansouri Mohamed, que «les institutions désignées comme centres de collaborateurs de l’OMS doivent mettre en œuvre le plan de travail convenu, dans les délais impartis et en respectant les normes de qualité les plus élevées». Et de rappeler qu' un rapport annuel doit être fait par l’institution.

Djamila Kourta

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