Le spécialiste a mis l’accent, à cet égard, sur "la nécessité de recourir à la communication, à la sensibilisation et au diagnostic précoce, pour prévenir les différents types de cancer, notamment le cancer de l’utérus, qu’on peut prévenir à travers le vaccin que le gouvernement compte importer prochainement", a souligné M. Yousfi.

S’agissant de l’Hépatite C, il a indiqué que cette maladie est devenue »un fléau national", tout en regrettant "le déficit en centres de prise en charge de cette maladie et les pénuries répétitives de médicaments".
Concernant l’Hépatite B, il a rappelé que "l’Etat a pris en charge le problème en inscrivant cette maladie parmi les vaccins pour enfants" avant de souligner que cette mesure est à même de "prévenir l’évolution du virus en maladie chronique dans 80 à 90% des cas".

Il a par ailleurs évoqué les maladies artérielles, notamment la thrombose et la coagulation dont les causes ne sont pas encore bien connues des spécialistes d’où une charge inadéquate et les décès dus à des crises cardiaques".
Dans ce cadre, Dr Yousfi a appelé à "la nécessité de vulgariser les nouvelles techniques de traitement de ces maladies, notamment le diagnostic précoce, susceptibles de réduire le taux de mortalité liée aux maladies cardiaques".
Il a enfin souligné que l’organisation de journées médico-chirurgicales nationales et régionales permet, dans le cadre de la formation continue, d’échanger les expériences entre les spécialistes ainsi qu’à s’enquérir des dernières techniques et autres évolutions dans le domaine médical.