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Revue de presse

Santé publique à Oum El Bouaghi : les hépatites B et C, un vrai problème

El Watan | Algérie | 18/03/2013

La prévention par le biais de campagnes de sensibilisation en direction des populations, demeure le moyen le plus efficace contre cette maladie redoutable. Selon un médecin interniste, N. Haouès, exerçant dans un établissement public de santé (EPS) de la wilaya d’Oum El Bouaghi, le nombre de malades atteints par l’hépatite B ou C ne cesse d’augmenter d’année en année, provoquant une certaine psychose au sein de la population.

Rien qu’à Aïn Beïda, il y aurait, selon ce praticien, une cinquantaine de cas diagnostiqués durant l’année écoulée. Ce qui n’exclut pas les populations des autres communes, comme Aïn M’Lila, Meskiana et Oum El Bouaghi.

La contagion se fait par plusieurs canaux : rapport sexuel, transfusion sanguine, extraction dentaire, tatouage, seringue usagée… Tout comme le Sida, la blennorragie ou la syphilis, l’hépatite est classée parmi les maladies sexuellement transmissibles (MST). Des risques existent aussi pour les insuffisants rénaux, bien qu’ils soient vaccinés contre l’hépatite B. Quels moyens utiliser pour que la maladie recule ? Les médecins et tous les professionnels de la santé préconisent la généralisation de l’utilisation des autoclaves dans les institutions sanitaires, publiques ou privées.

Notre interlocuteur assure que la prévention revient moins chère que la prise en charge d’un patient atteint de l’hépatite virale. «Le malade est soumis à une bithérapie onéreuse qui s’étale sur toute une année. Toutefois, s’il y a complication, suite à une rechute, le malade risque une cirrhose du foie ou même un cancer, et c’est irréversible», note-il, ajoutant que cette maladie est un fléau qu’il faut éradiquer en mobilisant les moyens nécessaires, dont la sensibilisation en direction des citoyens.

Baâziz Lazhar

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