«Les chefs de daïra sont appelés à redynamiser, dans les plus brefs délais, les commissions d’hygiène et ce, pour la préservation de la santé du citoyen contre les maladies à transmission hydrique (MTH) et les zoonoses», précise la même source. Dans ce but, ajoute notre source, les chefs de daïra doivent réunir périodiquement les commissions spécialisées pour assurer, entre autres, le contrôle draconien des abattoirs sis au niveau de leurs communes, et ce, en collaboration avec les services vétérinaires.

Les réunions, qui se tiendront tous les 15 jours, seront sanctionnées par des procès-verbaux. Parallèlement à cela, les pollueurs de l’environnement seront, dorénavant, contraints de payer des taxes. Selon notre source, les chefs de daïra, en collaboration avec la direction de l’Environnement, «doivent transmettre, dans leurs comptes-rendus, un listing des équipements et unités de productions polluantes existant dans les zones industrielles, accompagné de notes de service portant sur les mesures et sanctions à prendre contre les pollueurs».

Le directeur de l’Éducation, nous dit-on, doit accorder un intérêt particulier à la qualité des eaux et des repas fournis dans les cantines scolaires. De même, le directeur du Commerce doit, de son côté, présenter, de manière régulière, un rapport concernant les analyses de l’eau potable avec des bulletins d’analyses.

Abdelouahab Souag