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Revue de presse

Le centre anticancer de Blida submergé de patients : la sonnette d’alarme du corps médical

El Watan | Algérie | 29/05/2012

La vulgarisation de cette pathologie, qui reste un grand problème de santé publique. Près de 200 nouveaux cas de cancers du sein sont enregistrés annuellement par le Centre anticancer (CAC) de Blida, a indiqué jeudi l’oncologue A.H. Boudjella, lors de la 2e Journée d’oncologie de Blida consacrée au «cancer du sein localisé». Le but de cet événement est la vulgarisation de cette pathologie qui demeure un grave problème de santé publique.

De l’exposé du précédent locuteur, le premier constat établi est que le cancer du sein est devenu la première pathologie préoccupante chez la femme et il occupe 50% des activités du CAC de Blida. Le second constat est que les malades consultent souvent à des stades avancés, d’où des coûts élevés pour les traitements avec de piètres résultats. Le troisième constat est que le CAC de Blida à vocation régionale est transformé, sans infrastructures adéquates, en centre à vocation nationale (réception de malades venant des quatre coins du pays).

Il est ainsi «submergé» par des malades classés en trois catégories : les nouveaux malades, les malades en récidive et les malades en cours de traitement et que le centre n’arrive pas à prendre en charge dans des délais raisonnables. Le quatrième constat est que ce centre est dépourvu d’un centre d’imagerie (mammographie), indispensable au dépistage.
Les malades, souvent dépourvus de moyens financiers, font alors ce genre d’examen chez le privé et à des coûts élevés. Le dépistage précoce, qui vise à détecter le plus tôt possible le cancer afin d’enrayer sa progression et, si possible de le guérir, reste la meilleure solution pour contrecarrer cette grave maladie. Pour ce faire, le docteur Boudjella recommande aux femmes de se surveiller par la pratique de la palpation. Celle-ci doit se pratiquer sous la douche cinq jours après la fin des règles.

En cas de constatation de toute anomalie (bosse, écoulement, rétraction du mamelon, douleur, etc.), la consultation médicale devient indispensable, prévient-il. Notons que les établissements hospitalo-universitaires spécialisés en cancérologie d’Alger, de Tlemcen, de Tizi Ouzou et d’Oran ont participé à ce colloque où une vingtaine de communications consacrées aux différents volets du cancer du sein ont été présentées.

Hocine Mallek

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