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Revue de presse

Scanners à l'arrêt dans plusieurs hôpitaux : déficit en radiologues

El Watan | Algérie | 15/12/2011

Bizarre, on crie au manque de moyens, et quand ces derniers sont disponibles, ce sont les ressources humaines qui font défaut. Faute de radiologues, les scanners des hôpitaux d’El Eulma, Aïn El Kebira, Bougaâ, Aïn Azel et Aïn Oulmène sont à l’arrêt. Le coûteux investissement consacré par l’Etat s’avère inutile. Le manque de praticiens devant prendre en charge de tels équipements fait mal à des patients obligés d’aller vers le privé où le prix d’une image scanner varie entre 6 et 7000 DA. Pour une (imagerie par résonance magnétique (IRM), l’ardoise est salée. D’autant plus qu’une IRM coûte entre 13 et 20 000 DA chez le privé. Pour des procédures administratives, un tel équipement fait, nous dit-on, défaut au CHU de Sétif.

L’absence de radiologues est ressentie par une bonne partie de la population de la deuxième wilaya du pays en nombre d’habitants. «A quoi bon construire des hôpitaux et les doter par la suite d’équipements qui ne servent à rien?» s’interrogent des proches de patients ne pouvant bénéficier de soins de qualité dans des structures publiques. «Il est vrai qu’une médecine de qualité a un coût mais l’Etat qui a injecté des milliards dans la réalisation et l’équipement des hôpitaux doit trouver de nouveaux mécanismes pour intéresser les spécialistes à faire carrière dans le public, qui prend l’eau», enchaînent nos interlocuteurs. Contacté pour avoir d’amples informations, un responsable du secteur, estime, sous le sceau de l’anonymat: «Les problèmes des radiologues, ophtalmologues et gynécologues n’est pas spécifique à Sétif.

Il est grand temps pour revoir le plan de formation de certaines spécialités et de prendre à bras-le-corps le déficit qui s’amplifie d’année en année.» Notons, à toutes fins utiles, que le CAC (centre anticancer) de Sétif, qui est presque achevé, est confronté au problème des équipements bloqués par l’éternel problème des procédures administratives de la commission nationale des marchés qui refuse un dossier pour un oui ou pour un non. Annoncée depuis un certain temps la révision du code des marchés tarde, au grand dam des uns et des autres, à se faire.

Kamel Beniaiche

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