Santé Maghreb en Algérie -


encart_diam

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


encart_diam_strides

Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


vig_viral_facts


Vous souhaitez vous abonner à Médecine d'Afrique Noire, Médecine du Maghreb ou Odonto-Stomatologie tropicale ? Consulter des articles ? Rendez-vous sur le kiosque d'APIDPM - Plus d'informations


LE KIOSQUE APIDPM

Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue

Médecine du Maghreb
Consulter la revue

Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue


NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.

Inscriptions et désinscriptions

Accueil > Santé Maghreb en Algérie > Revue de presse

Revue de presse

Du nouveau dans la formation paramédicale

Le quotidien d'Oran | Algérie | 02/10/2011

Du nouveau dans la formation paramédicale cette année. La réforme opérée dans ce segment, laquelle s'apparente à «une révolution qui ne dit pas son nom » - pour reprendre les propos du directeur général de l'INFSP d'Oran -, est axée sur un rehaussement du niveau scientifique et une plus grande couverture de tout le panel des spécialités du paramédical.

Exit donc la notion de l'infirmière polyvalente et touche-à-tout avec un socle de savoir-faire tronc commun et rudimentaire. Dans le cadre de ce remaniement, les écoles de formation paramédicale, au nombre de 23, ont été érigées, cette année, en instituts nationaux de formation supérieure paramédicale (INFSPM), et ce par décret exécutif n°11-92 du 24 février 2011, publié dans le Journal officiel du 20 mars 2011. L'Ecole de formation paramédicale d'Oran (EFPO), sise avenue Mohamed Khemisti, fait partie de ces établissements qui ont été élevés au rang d'institut national supérieur, et qui est de ce fait placée désormais sous la double tutelle des ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur, nous explique son directeur général qui assume en même temps la même fonction par intérim pour l'INFSPM Oran-Es Salem (l'ex-ITSP sis à Saint Hubert) en attendant la nomination d'un nouveau DG pour cet établissement. Un heureux concours de circonstances qui coule, certes, dans l'intérêt de la formation paramédicale dans la wilaya d'Oran, puisqu'il appartiendra à ce responsable chevronné, et dont le nom est consubstantiel avec la filière paramédicale depuis son avènement en Algérie, la tâche de mettre en symbiose ces deux instituts fonctionnant en complémentarité et de les piloter ensemble dans cette phase transitoire cruciale. L'un des faits saillants de ce changement - du moins sur le plan concret qui intéresse directement une large frange de candidats à un stage de paramédical -, c'est l'exclusion des niveaux inférieurs à la 3e année secondaire pour l'accès à la filière aide-soignant de santé publique (hygiène corporelle des malades et de leur environnement, exécution des soins infirmiers de base et des tâches inhérentes à l'hôtellerie et à l'hygiène hospitalière).

En d'autres termes, il faut désormais justifier d'un niveau terminal pour prétendre à cette branche, du reste largement sollicitée. C'est valable pour les trois autres spécialités de la filière « soins », à savoir « auxiliaire de puériculture » (hygiène corporelle de l'enfant, de la mère et de leur environnement, hygiène hospitalière et entretien du matériel, etc.), « assistant en fauteuil dentaire » (accueil, installation du patient, préparation des dispositifs médicaux, informations et conseils d'hygiène bucco-dentaire aux patients, etc.). La filière « infirmier », accessible par un bac, quant à elle, comprend cinq grades, à savoir « infirmier breveté », mis en voie de distinction, infirmier diplômé d'Etat, infirmier de santé publique et infirmier spécialisé de santé publique et infirmier major de santé publique. La filière « rééducation et réadaptation », quant à elle, comprend 10 spécialités : diététicien, ergothérapeute, prothésiste dentaire, appareilleur orthopédiste, kinésithérapeute, opticien lunetier, orthoptiste, psychomotricien, pédicure podologue et audioprothésiste. Il y a aussi la filière « médico-technique » (composée de 4 spécialités), la filière « médico-sociale » (2 spécialités), la filière « enseignement et inspection pédagogique paramédicale». Par ailleurs, le même responsable a souligné que l'arrivée du système LMD a chamboulé la formation paramédicale, qui prévoit désormais 17 licences, mais dont seulement 7 sont disponibles au niveau d'Oran, le reste des disciplines sera ouvert progressivement selon certains paramètres liés notamment à la demande locale et la disponibilité du staff d'enseignement spécifique. Il est à notre que la rentrée des classes a eu lieu le 25 septembre dernier, mais seulement pour les anciens stagiaires. Quant aux inscriptions pour les nouveaux candidats, elles sont toujours en attente car étant tributaires de l'arrêté interministériel, précise-t-on de même source.

par Houari Saaïdia

Plus d'articles Algérien - Plus d'articles panafricains


Une question ? Une remarque ? Contactez-nous ?

AlgérieSanté Maghreb en Algérie
Le guide de la médecine et de la santé en Algérie


CARTE DU SITE




Connaissez-vous tous les sites web médicaux édités par APIDPM ?

Médecine d'Afrique noire électroniqueMédecine du Maghreb électroniqueOdonto-Stomatologie électronique

www.santetropicale.com - Le guide de la médecine et de la santé tropicalewww.pediatrieafricaine.com - Pédiatrie africaineRencontres Africaines de Nutrition Infantile (RANI)www.sm2ea.com - Santé de la mère et de l'enfant en AfriquePaludisme d'Afrique noirewww.sorlaf.com - Société d'ORL et de Chirurgie Cervico-Faciale des pays d'Afrique Francophone


Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !