La structure sanitaire de Akid Lotfi est déjà opérationnelle depuis quelque temps, en attendant son ouverture officielle à l'occasion de la célébration du 49e anniversaire de l'anniversaire de l'indépendance du pays. Quant à celle de Bir El-Djir, elle est appelée à offrir de meilleures prestations à la population de cette agglomération, contrairement à l'ancienne structure qui sera affectée au bureau d'hygiène communal de l'APC. Enfin, la polyclinique de Belgaïd rouvrira ses portes, étant donné que c'est l'ancienne structure qui a été retapée, et ce en attendant l'achèvement des travaux d'une autre structure.

Concernant le personnel, notre interlocuteur souligne que si pour la polyclinique de Bir El-Djir, il n'y a eu que le transfert du personnel de l'ancienne structure, pour les deux autres, il fallait recourir au redéploiement interne en puisant sur les capacités existantes. La mise en service de ces trois structures, réalisées sur fonds de wilaya, survient un peu plus d'une année après celle de l'USTO, une zone où a été ouvert également un centre de soins aménagé à la place d'une cave abandonnée, qui a été affecté par l'OPGI à la DSPRH. Pour la population locale, c'est le grand soulagement après avoir souffert des longs déplacements jusqu'à la polyclinique d'Es-Seddikia pour un acte médical banal.

Aux tablettes de l'EPSP, d'autres projets, financés toujours par la wilaya, sont attendus, comme la grande polyclinique de Belgaïd, celle d'El-Makarri et enfin celle de Carteaux, qui a été érigée à la place de l'ancienne structure fermée pour risque d'amiante.

par S. C.