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Revue de presse

La gestion des CHU pointée du doigt

La nouvelle république | Algérie | 30/06/2011

La 1re conférence nationale pour le développement des services hospitalo-universitaires a débuté, hier au niveau des Palais des nations, à Alger, en présence du ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, M. Ould Abbès, et de M. Harraoubia, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

Cette rencontre, dédiée au développement des structures de formation et de soins hospitalo-universitaires et à l’adaptation des flux aux besoins à l’horizon 2015, a vu la participation des chefs de service des hôpitaux. «Cette conférence qu’on prépare depuis un an va nous permettre d’avoir une feuille de route pour l’avenir, puisqu’aujourd’hui l’ancrage juridique est présent grâce aux 15 décrets exécutifs portant sur le régime indemnitaire avec effet rétroactif pour les médecins généralistes, spécialistes, sages-femmes, résidents ainsi que l’ensemble du corps du secteur, qui ont été obtenus et signés», a précisé Djamel Ould Abbès lors de son allocution d’ouverture.

Le ministre de la Santé a demandé aux participants de soumettre leurs propositions quant à la manière de gérer ce qu’il a qualifié de «fêlures dans notre bel ouvrage», causées, selon lui, par le déséquilibre apparent entre la formation et la couverture sanitaire de proximité, ainsi que la qualité de formation. «Nous nous devons trouver ensemble les voies et moyens d’améliorer le fonctionnement de nos services», a-t-il affirmé. Pour le Pr Mahmoudi, chef du service de gastro-entérologie au niveau du CHU d’Oran, le problème est la gestion : «Notre grande souffrance est la mauvaise gestion et le désordre qui règne dans nos centres, situation à laquelle il faut y mettre un terme.» En ce sens, il a proposé l’organisation d’un atelier consacré exclusivement à cette question, ce qui a été approuvé. Cinq autres ateliers ont été prévus au cours des deux journées de travaux. La thématique de la spécialité est évoqué à travers quatre ateliers, avec «Les spécialités médicales», «Les spécialité chirurgicales», «Les sciences fondamentales (médicales, biologiques, imagerie médicale et pharmaceutiques)» et «Les spécialité dentaires». S’agissant du volet de la formation, l’atelier «Formation pour les soins santé Sud» s’est tenu pour proposer des mécanismes spécifiques de formation pour les besoin en santé dans le Sud.

Le coup de gueule de Harraoubia «J’en ai marre de prendre votre défense face à ceux qui vous prennent pour des incapables», a déclaré le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harroubia, aux participants lors de son allocution en référence à l’image donné par l’élite. «Ça me fait de la peine quand je vois sur la scène internationale que nos compétences sont si sous-estimées.» Il a mis l’accent sur la nécessité de mettre un terme aux préjudices que connaissent «nos ressources humaines» et de leur prise en charge. «Il faut qu’on réagisse vis-à-vis des critiques, en revoyant notre politique de formation», a-t-il appelé en qualifiant la formation comme étant «obsolète et complètement dépassée». Aussi, M. Harraoubia a demandé la participation des chefs de service présents, dans la révision de certains points dont la graduation et le post-graduation ainsi que la formation, Il a d’ailleurs interpellé les participants sur ce point : «C’est de votre responsabilité de développer les services de santé et de faire des propositions en ce sens», tout en estimant que cette conférence constitue une occasion pour faire le point. On aimerait avoir vos recommandations pour garantir le succès de ce rendez-vous», précise-t-il. Il a souligné la nécessité «d’instaurer l’éthique et la déontologie, et qu’on arrête le double jugement. Il faut que les CHU soient la référence». S’agissant de la retraite de l’enseignant universitaire, il a assuré que l’ancrage juridique existe.

Karima H.

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