Selon l’association Amel, qui demeure la plus dynamique comparativement aux autres, des brigades de la direction de la santé, de l’éducation et de la jeunesse et des sports vont procéder en premier lieu au recensement des toxicomanes de la wilaya afin de leur réserver des séances hebdomadaires de psychothérapie, de médecine et des campagnes de sensibilisation à travers les établissements scolaires et les lieux publics. Outre l’organisation de plusieurs activités sportives, l’association opte pour la création de sections au niveau de chaque commune afin d’assurer un meilleur accompagnement aux malades en leur endiguant l’état de dépendance.

Par Boudiaf El Hadj