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El Watan | Algérie | 18/01/2009
La couverture sanitaire à Tifra est quasi-insignifiante : deux médecins généralistes pour 8 000 habitants. Il existe en tout, quatre structures éparpillées à travers le vaste territoire de la commune qui donnent des consultations et prodiguent les premiers soins aux centaines de patients qui s’y rendent quotidiennement. Une polyclinique au chef-lieu de commune baptisée au nom du chahid Zidi Abdelaziz, trois salles de soins implantées à Assam, Izoughlamen, Aït Mahiou et une officine pharmaceutique à Hammam Sillal ; voilà de quoi est constitué en tout le secteur sanitaire à Tifra. « Nul. Insuffisant. Doit s’améliorer ». Tels sont, sommairement, les verdicts populaires concernant ce secteur. Si pour certains d’entre ces établissements sanitaires, à l’exemple de la polyclinique, ont reçu quelques liftings et bénéficié de revêtements d’étanchéité, la salle de soins d’Aït Mahiou où exerce le deuxième médecin de la commune est dans un état lamentable. Les eaux pluviales s’y infiltrent et rendent les lieux inadéquats à l’exercice de la médecine. - [ Lire l'article ]
La Tribune | Algérie | 15/01/2009
L’urticaire est l’une des affections dermatologiques les plus fréquentes. 15 à 20% de la population fait au moins une poussée aiguë au cours de sa vie, motivant 1 à 2% des consultations de dermatologie et d’allergologie. Cette maladie, considérée par les spécialistes comme maladie chronique, fréquente et invalidante, constitue, a estimé le Pr Habib Douagui, président de la Fédération maghrébine d’allergologie et chef de service de pneumo-allergologie au CHU de Beni Messous, pour la collectivité des coûts de santé importants parce qu’elle est d’un diagnostic complexe. La recherche de facteurs déclenchants constitue la pierre d’angle de toute la mise au point. Les thérapeutiques disponibles peuvent soulager le patient et améliorer sa qualité de vie, mais certains professionnels de la santé pensent que le traitement est l’éviction. C’est dire l’importance de trouver une cause à cette affection dermatologique. - [ Lire l'article ]
La Tribune | Algérie | 15/01/2009
Après concertation avec le Syndicat national des pharmaciens, la Caisse Nationale de la Sécurité sociale (CNAS) prévoit l’élaboration d’une convention dans le cadre de laquelle les officines pourront percevoir des encouragements financiers en promouvant l’utilisation du médicament générique. L’information donnée par un représentant de la CNAS hier sur les ondes de la radio algérienne montre l’intérêt qu’accordent les pouvoirs publics à la promotion des médicaments génériques dont les taux de ventes demeurent encore faibles. Cette situation se répercute sur la CNAS qui dépense encore beaucoup d’argent alors que le générique est en mesure de réduire de moitié ses dépenses consacrées au remboursement de médicaments prescrits aux affiliés à la Caisse de Sécurité sociale. En effet, une réduction de l’utilisation des médicaments originaux aurait comme impact de réduire les dépenses de la CNAS qui, faut-il le rappeler, ne cessent d’augmenter d’année en année. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 13/01/2009
Les traitements hormonaux fréquents pour les femmes ménopausées accéléreraient la perte de tissu cérébral, selon une étude publiée lundi dans une revue américaine spécialisée. Cette étude qui a concerné un échantillon de 1.400 femmes a montré que les IRM (imagerie par résonance magnétique) prises environ huit ans après le début de la recherche, affichent une légère réduction du volume du cerveau des femmes ayant suivi ces traitements hormonaux. Cette analyse clinique a été conduite dans le cadre de l'initiative de l'étude de la mémoire dite "Women's Health Initiative Memory Study" ou WHIMS. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 13/01/2009
Les résultats d’une dernière étude effectuée par des spécialistes algériens, sur les cancers de la prostate, ont démontré que 35 % des sujets masculins dont l'infection par cette pathologie est diagnostiquée au stade métastatique décèdent au bout de deux ans. Ce type de cancer, qui représente la deuxième cause de mortalité chez l'homme après le cancer du poumon, est souvent diagnostiqué à un stade tardif. Selon les spécialistes, entre 80 et 85% des cas arrive au niveau des structures hospitalières spécialisés à un stade avancé voir métastasique. Cette pathologie qui touche l’homme à partir de 50 ans, a connue ces dernières années une nette progression a cause du prolongement de l’espérance de vie des algériens. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 13/01/2009
Le programme national de vaccination en Algérie a été élargi l’année dernière avec l’introduction du vaccin contre l’hemophilus influenzae type B (HIb), première cause de méningites graves. Cette importante décision, prise par les responsables de la santé en Algérie pour enrayer cette maladie, s’inscrit dans le cadre de la réduction de la morbidité et de la mortalité infantile et la prévention notamment contre l’hemophilus influenzae, première cause de mortalité par méningite et la deuxième cause de mortalité par pneumonie dans les pays en voie de développement. En Algérie, 23,9% des méningites bactériennes purulentes sont causées par le virus hemophilus influenzae b. Selon les statistiques avancées par des spécialistes, la situation en Algérie n'est pas alarmante dans la mesure, où les cas de méningite sont en baisse significative. - [ Lire l'article ]
El Moudjahid | Algérie | 13/01/2009
Le département d’histologie du CHU «Ben Badis» de Constantine s’est fixé depuis un certain temps déjà, deux priorités dans le cadre de ses activités. «La réalisation de ces deux projets d’envergure ne peut être effective que grâce à l’apport considérable de l’Etat et aux investissements consentis dans les domaines de la santé, de la formation et de la recherche», a indiqué d’emblée à El Moudjahid, le Pr Sakhri médecin-chef du service d’histologie, au cours d’un entretien accordé hier. A titre indicatif, signalons que l’un des deux projets a déjà vu le jour grâce à l’acquisition d’un microscope optique, d’un ordinateur et d’un logiciel qui permet d’établir le diagnostic des anomalies chromosomiques, désignés par l’appellation, «Le cariotype». - [ Lire l'article ]
Le quotidien d'Oran | Algérie | 10/01/2009
Séjournant à Oran depuis le 3 janvier dernier, il est à sa cinquième opération effectuée au service de l'urologie du CHU Oran. Ses opérations ont toutes une particularité : elles sont réalisées sans recours au bistouri et donc sans ouverture de l'abdomen. Il s'agit du Docteur Alain Iwalalen, un médecin français d'origine algérienne, séjournant actuellement à Oran, dans le cadre du 3ème Congrès international d'urologie organisé par la Société algérienne d'urologie. L'opération, la dernière, accomplie dans l'après-midi du mercredi, a concerné une jeune fille de 22 ans souffrant d'un cancer du rein. Elle a subi l'ablation de l'organe atteint. - [ Lire l'article ]
Le quotidien d'Oran | Algérie | 10/01/2009
Pas moins de 200 professeurs et maîtres assistants nationaux et européens ont pris part, jeudi, à la première journée d'imagerie médicale, organisée par l'Hôpital Militaire Régional Universitaire d'Oran (HMRUO), sur la pathologie bilio-pancréatique. Cette rencontre, qui a vu la présence d'éminents professeurs français dont le Pr J.M Tubiana de l'hôpital de Saint-Antoine de Paris, a été l'occasion pour expliciter les dernières avancées médicales en matière d'imagerie médicale dans le domaine de cette pathologie. Ce carrefour d'échanges et de concertation a permis, selon le directeur général de (HMRUO), le colonel, professeur Koudjiti, d'expliquer les nouvelles techniques du traitement et de diagnostic du malade par la radiologie interventionnelle. - [ Lire l'article ]
Le quotidien d'Oran | Algérie | 10/01/2009
Malgré des efforts consentis par les autorités locales, pour le retour des habitants des régions et localités montagneuses qui ont fui leurs douars d'origine sous la menace terroriste, à travers la réhabilitation et la réouverture des équipements publics saccagés par le terrorisme, plusieurs structures et infrastructures publiques demeurent fermées dans les localités et hameaux isolés. Une situation qui rend le retour des évadés des années de braise de plus en plus difficile, notamment dans les régions dépourvues de conditions les plus élémentaires de vie dont, entre autres, des conditions de scolarité de leur progéniture et la couverture sanitaire faute de structures. - [ Lire l'article ]
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