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El Watan | Algérie | 14/05/2009 | Lire l'article original
Les autorités locales attendent toujours la deuxième phase de ce projet qui consiste en l’extension de l’usine d’autant plus que l’assiette de terrain d’une dizaine d’hectares cédée le permet aisément. Avec la réception de cette deuxième tranche, le groupe danois Novo Nordisk table sur le doublement de la capacité de production annuelle prévue et qui est de 4 millions d’unités en plus de la production des antihypertenseurs. Néanmoins, la production des médicaments pour le traitement du diabète de type 2 demeure la priorité de cette usine. Objectif : faire face à une demande du marché sans cesse croissante. L’Algérie compte plus de 700 000 personnes atteintes de ce type de diabète. Pour rappel, le projet de Oued Aïssi est intervenu après une suspension notifiée à Novo Nordisk d’importer sur le marché algérien entre 2002 et 2004.
Une interdiction qui avait à l’époque touché une dizaine d’importateurs, dont Aldaph composé de trois actionnaires – Novo Nordisk, Pierre Fabre et Saidal – pour non-respect des clauses du cahier des charges qui obligeaient l’importateur d’investir pour la création d’un projet industriel au bout de 24 mois d’activité dans l’importation. Pour des raisons bureaucratiques « made in Algéria », le groupe Novo Nordisk a accusé plus de deux années de retard sur les délais initialement prévus pour mettre sur le marché national son premier produit.
Par Ahcène Tahraoui
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