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Algérie Aïn-Témouchent : la brucellose sévit encore

Le quotidien d'Oran | Algérie | 14/04/2009 | Lire l'article original

Pas moins de 30 personnes atteintes de fièvre et présentant des symptômes ondulants des articulations ont été hospitalisées ces jours-ci pour avoir eu, selon toute vraisemblance, consommé du lait de vache cru vendu par un commerçant à la plage du Puits. Les premiers éléments de l'enquête indiquent que le lait cru provenait du troupeau d'un éleveur de vaches demeurant dans la région Emir Abdelkader. L'inspection vétérinaire, sur instruction des responsables dûment habilités, a confirmé après analyse de plusieurs échantillons de lait cru qu'il s'agissait d'un produit affecté par une bactérie (genre brucella), provoquant une maladie infectieuse transmissible à l'homme par des animaux, en l'occurrence les vaches. Dans une pareille situation, le bétail brucellé devrait faire l'objet d'abattage et de destruction selon une technique appropriée.

L'on apprend par ailleurs que les malades ont reçu les soins appropriés et ont regagné tous leur domicile. A l'issue de la manifestation de cette zoonose, une vaste opération de vaccination des cheptels ovin et bovin devait être enclenchée par les services concernés, note-t-on. De plus, plusieurs têtes de moutons et de vaches ont été retrouvées dévorées non loin de la Sebkha. Faute d'information au sujet de ces morts, l'on ne peut que spéculer et tous les scénarios sont à prendre en considération, y compris la suspicion de brucellose. A vrai dire, les éleveurs ne sont pas du tout coopératifs et préfèrent taire l'information de peur que les services de l'autorité agricole ne découvrent d'autres cas de contamination. Les années précédentes, l'Etat indemnisait les éleveurs victimes à des taux appréciables. Ce dispositif d'aide est, selon des informations, toujours en vigueur mais les éleveurs ignorent, semble-t-il, cette faveur.

La transhumance incontrôlée, le déplacement du cheptel d'un souk hebdomadaire à l'autre et le mélange de troupeaux non identifiés au préalable, ainsi que les mauvaises conditions dans lesquelles sont élevées les vaches, constituent les causes essentielles de prolifération de la zoonose.

Par Belhadri Boualem

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