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Algérie Médicament : Les malades entre les génériques et les princeps

Le quotidien d'Oran | Algérie | 29/06/2006 | Lire l'article original

Le remplacement des médicaments princeps par des génériques s’effectue dans le tâtonnement, semble-t-il. En effet, depuis le début d’application des prix de référence, les malades, les pharmaciens et les médecins sont pour ainsi dire «livrés à eux-mêmes».
Quelques médecins, des pharmaciens et des patients questionnés sur le sujet ont donné plusieurs avis sur l’application de ce nouveau système de tarification des médicaments et sur la prescription des génériques.

Si les malades se sont montrés quelques peu méfiants sur cette «nouveauté», ils ne rejettent pas d’emblée l’idée de prendre du générique dans la mesure où cela est «conseillé» par le médecin traitant. Des pharmaciens qui disent avoir reçu des CNAS les nouvelles tarifications affirment «que le malade qui s’adresse à notre officine pour l’achat de ses médicaments est la plupart du temps conseillé de remplacer les médicaments princeps «molécules mères» par du générique, bien moins cher».

Ces pharmaciens précisent «en discuter» avec le client et lui expliquer par exemple que le «Lopril» pour les hypertensions qui coûte cinq cents dinars, peut être remplacé par le même médicament générique qui lui coûte deux cent vingt dinars. Ou le «Diamicron» qui traite certains diabètes et qui coûte six cents dinars, et dont le générique est de moitié moins cher, ou encore le «Mopral» pour les traitements gastriques qui coûte plus de deux mille dinars en princeps et un peu plus de deux cents dinars en générique, etc.

Certains malades, les plus démunis surtout, acceptent l’échange, surtout lorsqu’il y a en jeu le prix. L’écoute est d’autant plus facile que c’est le pharmacien qui leur parle : ils ont confiance. Chez les malades, certains comprennent difficilement «ces jongleries» dans les prix. «On avait notre carte de tiers payant, on payait les vingt pour cent, un point c’est tout. Maintenant on nous parle de générique, de prix de référence, de différence parfois exagérée» et se demandent «comment faire pour s’en sortir, alors forcément, on prend le générique que nous propose le pharmacien, dans la mesure où c’est lui-même ou un vendeur expérimenté qui nous en parle».

Enfin des médecins généralistes également questionnés déclarent «d’abord proposer au malade de lui prescrire des médicaments génériques en lui expliquant que cela reviendrait moins cher. Mais nous le faisons avec prudence. Nous sommes pour ainsi dire dans un stade expérimental. De plus nous craignons que les effets secondaires ne soient pas les mêmes qu’avec la molécule mère pour le même patient. Ceci d’autant plus que nous n’avons aucune directive de la part des autorités sanitaires».

Toujours est-il que le médicament générique commence donc à se faire connaître, bien que des pharmaciens affirment que seuls 15 à 20% des commandes faites aux grossistes sont satisfaites en générique «mais une augmentation progressive est attendue car ce médicament a tendance à se généraliser».

Abdelkrim C.

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