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El Moudjahid | Algérie | 13/01/2009 | Lire l'article original
De précédents résultats de cette recherche du WHIMS montraient que le traitement par œstrogènes avec ou sans progestérone accroissait le risque de démence et entraînait une diminution des capacités cognitives chez les femmes âgées de 65 ans et plus.
"Les résultats de notre recherche apportent une explication possible pour l'accroissement du risque de démence chez les femmes âgées ayant suivi un traitement hormonal après la ménopause, mis en évidence dans la précédente étude du WHIMS", relève la Dr Susan Resnick du National Institute on Aging et principal auteur de l'étude.
"Les effets néfastes sur le cerveau de la thérapie hormonale après la ménopause que fait apparaître l'étude du WHIMS paraissent surtout être liés à une neurodégénérescence et non à une maladie vasculaire", indique la Dr Laura Coker de l'Université Wake Forest à Winston-Salem en Caroline du Nord (sud-est), principal auteur de l'analyse.
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