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Algérie Qu'en est-il de l'hygiène au CHU ?

Le quotidien d'Oran | Algérie | 02/12/2008 | Lire l'article original

Une enquête menée au niveau du centre hospitalo-universitaire de Constantine par le comité de lutte contre les infections nosocomiales, a révélé que le taux de contamination des lieux est de près de 19%. Le coordinateur du dit comité, le professeur Mouloud Abdou, précise que c'est là «une moyenne». Par contre, elle est plus importante dans les services des brûlés, des nurseries et dans celui de la réanimation ». C'est donc l'explication sur le nombre important des malades admis à l'hôpital pour un traitement ou alités qui, à leur sortie, se sentant comme « libérés », se plaignent souvent à leurs proches et parfois au service médical des insuffisances en matière d'hygiène du service où ils ont séjourné.

Il est des infections qui sont connues sous le nom d'infections nosocomiales et qui ont pour origine l'état d'insalubrité des lieux, comme les toilettes installées à proximité des salles où sont alités les malades, les cuisines, les salles de soins pas assez désinfectées, etc.

Selon le professeur, les infections qui sont les plus signalées ont trait aux urines, au sang et aux plaies opératoires dues essentiellement au manque d'hygiène de l'environnement hospitalier, ainsi qu'à celui des mains des soignants. Et c'est dans ce cadre que le comité de lutte contre ces infections, composé de médecins, de représentants du service de la chirurgie, de celui de la pharmacie centrale, de paramédicaux et d'un architecte - dont la présence au sein du comité, explique le professeur, « est due au fait que la lutte ne consiste pas seulement en les activités médicales, mais englobe aussi les structures sanitaires qu'il faut concevoir, refaire ou réaliser conformément aux impératifs d'hygiène » -, est mis en place.

Ainsi, dit-il, la lutte du comité se fait, selon son président, sur trois volets à la fois : le premier a trait aux structures comme dit plus haut, le deuxième concerne un système de surveillance des infections nosocomiales, qui se fait régulièrement pour recenser toute infection relevant de ce type, et enfin le troisième est lié à la prévention et à la formation du personnel médical.

Ce dernier volet est peut-être le plus important, en ce sens qu'il réside dans un recyclage de presque tout le monde, depuis les simples employés jusqu'aux médecins, en passant par les infirmiers, ce que l'on désigne communément par les « correspondants à l'hygiène hospitalière ».

Le but de toutes ces opérations a pour finalité, précise notre interlocuteur, «de parvenir à un changement de mentalité dans les comportements de chacun à l'effet de parer efficacement à ces infections, qu'il faut inculquer à tout le corps médical, qui agissent en silence mais qui peuvent tuer».

Par A. E. A.

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