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Algérie Le problème est posé dans plusieurs établissements du pays : former plus de médecins gynécologues pour pallier le manque

La Tribune | Algérie | 17/06/2008 | Lire l'article original

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, M. Amar Tou, est bien au fait des problèmes que connaissent de nombreux établissements de santé publique à travers le pays, en ce qui concerne le manque de médecins spécialistes, en particulier les gynécologues. Ces médecins désertent les établissements de l’Etat, préférant ouvrir des cabinets à leur compte ou travailler dans des cliniques privées. «Il faut poser le problème au ministère de l’Enseignement supérieur», a déclaré hier le ministre, en marge de la célébration de la Journée de l’enfant africain, au siège du département ministériel. M. Tou qui a insisté, au cours de cette rencontre, sur la nécessité de poursuivre les efforts pour une meilleure prise en charge médicale de la mère et de l’enfant –l’un des objectifs premiers du millénaire- reconnaît que le manque de médecins gynécologues dans les établissements relevant de l’Etat est un véritable problème, en ce sens qu’il pénalise la mère et l’enfant mais aussi toute l’activité hospitalière.

Le représentant du département de la santé affirme que s’il y a manque de ces médecins, «c’est parce que l’Enseignement supérieur n’en forme pas beaucoup… ça ne dépend pas du ministère de la Santé». M. Amar Tou assure toutefois que des mesures sont en cours, en coordination entre les départements de l’enseignement supérieur et de la santé, pour augmenter le nombre des diplômés dans cette spécialité : «Nous avons opté pour la formation d’un nombre supplémentaire de 85 gynécologues chaque année et ce, à partir de l’année en cours. Aussi est-il question de spécialiser quelque 150 médecins généralistes dans ce domaine, durant une période de 24 mois. Ajoutez à cela l’assistance cubaine en la matière.»

En attendant la sortie de ces spécialistes (quatre ans pour les premiers), des femmes de différentes régions du pays connaissent des accouchements difficiles et frôlent le danger à tout moment. Pour en revenir au thème central de la rencontre d’hier, le ministre soutient qu’une nette amélioration est enregistrée en matière de prise en charge maternelle et infantile : «Nous avons 88,9 cas de mortalité maternelle sur 100 000 naissances nouvelles et 24,5 décès d’enfants de moins de cinq ans sur 1 000 naissances nouvelles. Les moyennes en Afrique sont respectivement de 690 sur 100 000 naissances nouvelles et de 165 sur 1 000 naissances nouvelles.» En comparaison toutefois de celles enregistrés dans les pays développés (6 sur 100 000 et 5 sur 1 000), il reste encoure beaucoup à faire en Algérie. Parlant de toute la région d’Afrique, un représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé à focaliser l’attention sur l’action : «Beaucoup de choses sont dites mais peu de choses sont faites. Nous devons accélérer les programmes d’action et favoriser l’accès aux soins.»
Le représentant de l’OMS plaide, par ailleurs, pour le développement du partenariat à un niveau régional et global.

Par Karima Mokrani

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