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Algérie Guelma : l'hémodialyse manque de spécialistes

Le quotidien d'Oran | Algérie | 14/06/2008 | Lire l'article original

Une année s'est écoulée, après la mise en oeuvre, par les organismes de sécurité sociale, de l'obligation de présence d'un néphrologue pendant les séances d'hémodialyse alors les opérateurs, dans ce créneau sanitaire, continuent à braver les difficultés dans le recrutement de ce spécialiste et les néphrologues ne se bousculent pas au portillon.

La règlementation en vigueur prévoit la présence d'un néphrologue pour assurer une bonne coordination des prescriptions d'hémodialyse au sein d'une clinique dotée d'un service de néphrologie, impliquant les actes médicaux de consultation, exploration et traitement de l'insuffisance rénale. Par ailleurs, les mêmes dispositions légales précisent qu'un centre de moindre envergure appelé CHAP, nécessite un médecin dialyseur détenant un CES en hémodialyse ou un médecin généraliste ayant exercé deux années au moins dans un centre d'hémodialyse.

Un exploitant d'un CHAP sur la place de Guelma soutient: «que la décision des organismes de sécurité sociale est unilatérale où ils s'arrogent l'autorité médicale et empiètent les règles déontologiques en exigeant la présence de néphrologue au niveau d'un CHAP, allant ainsi dans une contradiction dans l'application de la loi, provoquant des situations conflictuelles jusqu'aux obligations contractuelles définies dans les conventions de prise en charge sociale». Selon notre interlocuteur gérant du centre d'hémodialyse «El- Qods»: «Dans notre cas, il y a eu une rupture de contrat de travail avec notre néphrologue en tant que directeur du centre et selon la convention avec la CNAS ou la CASNOS, nous disposons d'un délai de deux ans pour nous mettre en conformité. Outre cela, nous disposons d'un médecin dialyseur qualifié pour remplir nos obligations de traitement. Le recrutement d'un néphrologue n'est pas chose aisée de nos jours et nous continuons la prospection. Evidemment, nous continuons à prendre en charge nos patients astreints à l'hémodialyse malgré les injonctions de l'organisme de sécurité sociale et nous n'avons aucune intention de mettre en péril la vie des malades».

L'organisme de sécurité sociale se défend en affirmant agir suite aux recommandations élaborées par des experts désignés par le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière, qui ont arrêté un guide sur la base des bonnes pratiques européennes. En tout état de cause tout porte à croire que les nivellements structurels s'appuyant sur les normes ou les «bonnes pratiques européennes» sont bien adaptés aux spécificités nationales et les réalités du terrain. Les agréments d'exercice de l'activité sont du ressort du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière où sont définies les normes de création d'une clinique ou d'un CHAP, ainsi que la présence d'un néphrologue pour l'un et d'un médecin dialyseur pour l'autre. Dans ce sens pourquoi se hasarde-t-on à créer des dilemmes autour d'une activité médicale et de soins spécialisés sans se soucier des désagréments générés aux patients et l'altération de la déontologie médicale.

La santé de la population est l'affaire de tous et le dialogue et la concertation transparente pourrait aboutir à lever toute équivoque.

Par Menani Mohamed

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