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Algérie Cancer de la prostate : 2ème cause de mortalité chez l’homme après le cancer du poumon ; Un millier de nouveaux cas enregistré annuellement en Algérie

El Moudjahid | Algérie | 07/05/2008 | Lire l'article original

Sur les 30.000 nouveaux cas de cancers en Algérie, près d’un millier concerne le cancer de la prostate. 106 cas de cancer de la prostate ont été traités au niveau de l’hôpital de Blida au cours de l’année 2007 et ce, sur 1.600 cas de cancers traités. Entre 80 et 85% des cas de cancers prostatiques arrivent au niveau des structures hospitalières spécialisées à un stade avancé, voire métastasique.

Cancer en nette progression en Algérie, le cancer de la prostate a fait, hier, l’objet d’un débat au cours d’une rencontre organisée par le Centre Anti-Cancer (CAC) de Blida, à l’hôtel Sheraton.
Ce type de cancer, qui représente la deuxième cause de mortalité chez l'homme après le cancer du poumon, est souvent diagnostiqué à un stade tardif, ont notamment indiqué des spécialistes, à l'occasion des Journées scientifiques sur le cancer de la prostate. «Entre 80 et 85% des cas arrivent au niveau des structures hospitalières spécialisées à un stade avancé, voire métastasique», ont-ils précisé.

«Cette pathologie, qui touche l’homme à partir de 50 ans, a connu ces dernières années une nette progression à cause du prolongement de l’espérance de vie des Algériens», a indiqué le responsable du centre, le professeur Kada Boualga, organisateur de cette rencontre. Et d’ajouter que «sur les 30.000 nouveaux cas de cancers enregistrés chaque année, près un millier concerne le cancer de la prostate». Par ailleurs, le Pr Boualga a précisé qu'en 2007, sur 1.600 nouveaux cas de cancers traités au niveau du centre qu'il dirige à Blida, il y a eu 106 cas de cancer de la prostate, soit 7% de la totalité de tous les cancers.

Evoquant le volet prévention, le Pr Boualga a indiqué que cette pathologie, qui enregistre plus de 500.000 nouveaux cas annuellement dans le monde, peut être guérie si elle est traitée à temps. Pour le Pr Boualga, le seul moyen de lutter contre cette redoutable maladie est le dépistage précoce qui, selon lui, décèle des formations précancéreuses et donc facile à traiter. Pour sa part, le Pr Christophe Hennequin, oncologue radiologue à l’hôpital Saint Louis de Pris, a insisté sur le diagnostic précoce de cancer dit asymptomatique (sans signes cliniques), par un dosage de l'antigène spécifique de la prostate (PSA) et ce, par un prélèvement sanguin chez les hommes ayant dépassé la cinquantaine. Il a, dans ce sens, cité l’exemple des Etats-Unis qui ont réussi à réduire sensiblement l’incidence de cette pathologie, grâce à une stratégie de dépistage précoce. Concernant la prise en charge de cette maladie qui représente un véritable problème de santé publique, le spécialiste a fait savoir que le traitement de la prostate repose essentiellement sur la chirurgie et la radiothérapie.

Le Pr Boualga a affirmé que le Centre anti-cancer de Blida s'est doté d'un équipement de dernière génération avec un accélérateur linéaire multi-lames permettant de mieux traiter les malades cancéreux avec de «bons» résultats et avec nettement moins d'effets secondaires par rapport aux anciens équipements. Il a rappelé qu' «il y a 30 ans, on traitait 50 cas de cancer de la prostate annuellement, contre 160 cas en 2007», grâce, a-t-il dit, aux nouveaux équipements acquis. Ces équipements complexes, selon l’intervenant, nécessitent une maintenance régulière, car une panne de plus de 48 heures peut fausser tous les diagnostics établis. Selon le Pr Boualga, ces équipements sont gérés par un plateau technique, constitué de techniciens, radiothérapeutes, physiciens et manipulateurs qui devraient bénéficier, en plus de la formation, d'un environnement propice, d’où la nécessité de revaloriser le personnel faisant partie de ce plateaux technique. Il est à signaler que les travaux de ces journées scientifiques se poursuivent aujourd’hui et plusieurs thèmes liés à la prise en charge, au diagnostic et au traitement du cancer de la prostate sont à l’ordre du jour.

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