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Algérie Selon l’association AIDS : 700 cas de sida en Algérie

Le quotidien d'Oran | Algérie | 15/05/2006 | Lire l'article original

L’Algérie compte au 31 décembre 2005 quelque 700 personnes atteintes du sida ainsi que 1908 cas de séropositifs. Ces chiffres émanent de l’association AIDS Algérie, l’une des associations pionnières dans la lutte contre le Syndrome de l’immunodéficience acquise (SIDA) dans notre pays.
Bien qu’on soit loin, très loin même du nombre effarant de sidéens en Afrique subsaharienne et même en Europe, notre pays semble avoir pris conscience du danger que représente cette maladie.

Ainsi, dans le cadre du programme de coopération entre l’Algérie et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), l’association AIDS a été chargée de mettre sur pied un projet intitulé «Prévention du VIH/SIDA en milieu jeune».

Le projet en question est une enquête réalisée dans trois wilayas, à savoir Alger, Oran et Tamanrasset. Le but de cette première «étude comportementale sur le VIH/SIDA et les professionnels (les) du sexe en Algérie» est d’essayer de comprendre toutes ces personnes.
D’après le directeur du projet, M. Adel Zeddam, la réalisation de l’étude permettra aux acteurs de la lutte contre la maladie, dans le cadre du plan national, d’établir des interventions de préventions auprès de ce «groupe de population» qui en a, explique-t-il dans un communiqué de presse, le plus besoin et qui malheureusement a le moins accès aux services de prévention, de traitement et d’appui.
Le directeur du projet soulignera également que cette démarche permet de proposer aux décideurs un cadre d’action globale qui prend en considération les déterminants sociaux et économiques qui sont, d’après son analyse, la base de la vulnérabilité des différents groupes de la population à l’épidémie du VIH, en particulier «les professionnels du sexe».
A cet effet, une rencontre a été organisée hier à l’hôtel Sofitel en présence de professeurs, d’experts nationaux et internationaux ainsi que du coordinateur de «Onu Sida» qui a salué lors de son intervention le travail réalisé par l’association AIDS. «L’enquête représente une étape très importante pour connaître le phénomène du VIH en Algérie et les moyens de le combattre», dira le représentant de Onu Sida qui rappellera également que cette première enquête traite d’un sujet qui est resté durant longtemps tabou en Algérie, à savoir la prostitution.
Il soulignera à ce sujet que le système des Nations unies est pleinement engagé dans notre pays et que l’Algérie est invitée pour contribuer à prendre des décisions lors de la session des Nations unies sur le sida qui se tiendra le 31 mai prochain.

Le même optimisme est partagé par la représentante du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière qui dira, pour sa part, que l’enquête va permettre au département de Amar Tou de prendre des décisions sur la base de données correctes et concrètes. Il faut savoir que l’enquête apporte des témoignages et des récits des prostitués, appelés par les enquêteurs «travailleuses et travailleurs de sexe».
Tous les récits sont quasi similaires. Problèmes familiaux, terrorisme, violence, précarité et isolement social sont dans l’ensemble les facteurs déclencheurs qui poussent particulièrement les femmes à vendre leurs charmes pour devenir plus tard des professionnelles. L’enquête révèle que les prostituées ne sont pas forcément illettrées puisque nombre d’entre elles ont suivi des études à l’université.
La majorité des récits des «travailleuses et travailleurs du sexe», indiquent les réalisateurs de l’enquête, dévoile des trajectoires familiales brisées, à l’origine de violences physiques et symboliques au sein de la famille.

Enfin, il y a lieu de noter que cette première enquête en milieu de la prostitution réalisée par des enquêteurs algériens, devait être remise hier aux autorités qui étaient absentes lors de la séance inaugurale.

Z. Mehdaoui

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