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Algérie Oncologie thoracique : les spécialistes plaident pour un plan anti-cancer

El Watan | Algérie | 13/04/2008 | Lire l'article original

L’élaboration d’un plan anti-cancer doit constituer aujourd’hui une urgence pour une meilleure organisation dans le traitement et la prise en charge des cancéreux. L’appel a été lancé, encore une fois, par les spécialistes en oncologie et les pneumologues réunis durant deux jours à l’occasion des 11èmes journées de la Société Algérienne d’Oncologie Thoracique (SAOT). Un plan qui doit être suivi d’une stratégie prônée par la plus haute autorité du pays, ont-ils souligné. Pour le président de la SAOT, ce plan est incontournable si on veut faire barrage au cancer sous toutes ses formes. C’est une maladie qui n’attend pas. Il est important que dans un plan anti-cancer, toutes les institutions soient associées, citant à titre d’exemple les institutions financières et les Douanes algériennes, lorsqu’il s’agit de la contrefaçon du tabac ou de la vente de cigarettes en dehors des bureaux de tabac.

D’autant que le tabagisme est la première cause des cancers et de mortalité. Le Dr Ameur a fait remarquer, au cours d’un point de presse organisé en marge des travaux, qu’en Algérie, « les enfants fument de plus en plus, ce qui signifie qu’il y aura de plus en plus de cancers du poumon dans les prochaines années ». 90% des cancers du poumon ont pour cause le tabagisme. Qualifiant la situation d’« alarmante mais maîtrisable », et se basant sur les prévisions de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il a souligné que le tabac est le facteur de risque le plus morbide dans le cancer du poumon. En termes de traitement, le président de la SAOT a insisté sur le diagnostic précoce, permettant, a-t-il dit, « d’opérer le patient dans les meilleurs délais ». « Plus le diagnostic est établi tôt et plus le malade a de chances de guérir », a t-il expliqué. La prise en charge d’un cancéreux, a-t-il ajouté, relève d’une équipe multidisciplinaire « Les médecins doivent apprendre à travailler en équipe et ne plus vivre en autarcie dans leurs spécialités, services ou cabinets ». Il a souligné que les cancéreux traités sont généralement admis dans les hôpitaux après un diagnostic « tardif », ce qui met le patient « au-dessous de toute ressource thérapeutique, sa seule ressource thérapeutique efficiente étant la chirurgie ». Il y a un manque de statistiques « fiables » sur le nombre de malades souffrant de cette pathologie en Algérie (cancer du poumon). Le président de la Société algérienne d’oncologie thoracique (SOAT) a indiqué que des chiffres « non fiables » sont avancés ici et là sur le nombre de malades souffrant de cette pathologie, précisant que le nombre de décès dus au cancer du poumon est « plus important que le nombre des victimes des accidents de la circulation en Algérie ». Ces chiffres ne sont pas établis, selon lui, sur des bases scientifiques. L’Institut national de la santé publique (INSP) devrait être, de son point de vue, une véritable base de données pour établir des chiffres et des statistiques de manière scientifique. « Les solutions ne résident pas uniquement dans le nombre d’hôpitaux construits ou de médecins formés, mais dans l’établissement des objectifs épidémiologiques. » , a t-il déclaré. Par ailleurs, Le Pr Benali du CHU d’Annaba a fait savoir que le traitement du cancer du poumon relève d’un travail d’équipe qui doit se mettre d’accord sur un consensus formalisé basé sur la réalité du terrain au lieu d’élaborer un document qui ne sera jamais lu. Il a appelé les spécialistes à ne pas se confiner dans les laboratoires et les médecins généralistes à réagir promptement dès qu’une tumeur est suspectée.

Djamila Kourta

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