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Algérie Saïda : les déchets d'activités de soins inquiètent

Le quotidien d'Oran | Algérie | 12/03/2008 | Lire l'article original

Les déchets produits par l'activité des structures sanitaires, ou déchets d'activités de soins présentent un caractère infectieux et contaminant indéniable. Aussi bien le personnel, les patients et même les visiteurs, tous sont exposés à des risques évidents. Ainsi, faut-il prendre des mesures rigoureuses pour gérer ces DAS «un vecteur de pathologie latent», est-il confirmé par un praticien du secteur sanitaire.

«La protection de l'environnement, de la population hors établissement sanitaire et l'hygiène sanitaire des locaux et des personnes, à l'intérieur des structures doivent constituer la priorité de tout un chacun afin de préserver la santé collective», dira le praticien à la vue des poubelles renversées par de gros et gras chats de gouttières, gavés de déchets de restauration et en quête de meilleurs mets. La santé ne doit pas être négligée et des inspections quotidiennes devraient être effectuées pour atténuer ces risques.

«Les déchets des soins tels que les pansements, les résidus non organiques, matériel à usage unique, les déchets anatomiques comprenant les tissus organiques, les membres amputés et les placentas, les instruments piquants et coupants, ou encore ceux provenant des laboratoires, contiennent des éléments toxiques en quantité suffisante pour causer des maladies», explique le praticien. Il y a lieu d'y prêter toute l'attention nécessaire et de prendre en charge ce volet important sinon tous les efforts de prévention sont voués à l'échec, prévient-il.

«Et dire que les dispositions réglementaires sont claires à ce propos. La gestion des déchets d'activités de soins débute par un tri et s'achève par une élimination aux frais du contrevenant, telle que stipulait par les textes en vigueur, relatifs à la gestion, au contrôle et à l'élimination des déchets. Ne vaut-il pas mieux prévenir que guérir, car tant en médecine humaine que vétérinaire, les DAS constituent des risques certains», conclura le praticien.

par Ali Kherbache

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