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Algérie Plantes médicinales : les remèdes traditionnels toujours en vogue

El Watan | Algérie | 07/01/2008 | Lire l'article original

Reflétant les traditions des habitants des régions de six wilayas de l’Est algérien en matière de traitement des pathologies courantes par les plantes médicinales, une enquête ethnobotanique, pilotée par trois universitaires en fin d’études de pharmacie, avec la complicité de près de 150 étudiants en 2e année de pharmacie, révèle que malgré les progrès fulgurants de la médecine moderne, beaucoup de personnes, des deux sexes, privilégient toujours la médecine traditionnelle pour soulager leurs maux, quand le traitement administré par un médecin ne donne pas les résultats escomptés. Ainsi, d’après cette investigation, menée dans les wilayas de Tébessa, Guelma, Souk Ahras, El Tarf, Skikda et Annaba, parmi les modes d’utilisation les plus courants, la palme revient aux infusions et autres décoctions, créditées respectivement de 37,97 et 33,62 % de consommateurs. Cette étude révèle, d’autre part, que 25,58 % des habitants utilisent, de préférence, des plantes médicinales pour traiter leurs désordres gastriques, 25,96 % d’entre eux pour soulager leurs problèmes respiratoires, 12,93 % pour traiter les maladies urologiques, 11,20 % en appellent aux vertus thérapeutiques des plantes usitées, le plus souvent, sous forme de cataplasmes contre les atteintes dermatologiques, 4 % y ont recours pour contrer les maladies neurologiques, 2,5% vont chez l’herboriste dans l’espoir de soulager leurs problèmes cardiologiques, et seulement 1,72% des accros aux plantes médicinales font appel aux teintures, sirops et distillations, ce mode de traitement exigeant une précision d’horloger pour espérer aboutir aux effets escomptés.

Ajoutés aux conclusions des autres investigations, faites dans d’autres régions du pays, les résultats obtenus, au terme de cette enquête de terrain, confortent une fois de plus la thèse, selon laquelle les traditions et les croyances séculaires ont la vie dure, et continuent d’ influer sur les décisions de citoyens convaincus que ces pratiques transmises, de génération en génération, représentent toujours à leurs yeux la meilleure des médications, sinon la panacée pour guérir leurs « bobos ». Ceux-ci connaissent toutes les adresses de rebouteux ou des « officines » d’herboristes, dans lesquelles le temps semble s’être arrêté, et d’où se dégagent mille senteurs enivrantes, les unes douces ou sucrées, les autres acres, piquantes ou rudes. Cette image d’Épinal ne doit pas, pour autant, faire occulter les dangers encourus par les utilisateurs inconditionnels des plantes médicinales, surtout quand ces derniers ont affaire à des charlatans dépourvus des connaissances scientifiques de base, prescrivant tout et n’importe quoi.

A. Boussaïd

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