Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays

LE KIOSQUE APIDPM

Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue

Médecine du Maghreb
Consulter la revue

Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue

Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.

Inscriptions et désinscriptions

Revue de presse

Trier les actualités par :

«L'issue est fatale» : Entre 20 à 25 cas de rage chaque année

Le matin | Maroc | 19/06/2007 | Lire l'article original

Explications : DR Jamal Miftah, médecin vétérinaire. Quels sont les moyens pour traiter la rage ? Il n'y a pas de traitement curatif de la rage. Une fois l'atteinte rabique déclarée, par l'apparition des signes qui peuvent se résumer comme suit chez l'animal : troubles nerveux, ataxie, hyperesthésie, paralysie, hypersalivation, hydrophobie, agressivité, dans ce cas l'animal cherche à mordre tout objet» l'issue est toujours fatale au bout de trois à six jours. Au Maroc, entre 20 à 25 cas de rage humaine et 400 à 450 cas de rage animale sont enregistrés chaque année.

Selon vous, quelles sont les actions à entreprendre pour éradiquer cette maladie ?

Selon la circulaire interministérielle de lutte contre la rage N° 5837/DE du 14 novembre 2003, signée par les ministres des trois départements concernés, ainsi celui de l'Intérieur, de l'Agriculture et de la Santé qui fixe les actions à mettre en œuvre pour lutter contre ce fléau, le plan de lutte s'articule autour de quatre axes :

La réduction des effectifs de la frange de chiens errants par ramassage de ces mêmes chiens en vue de les euthanasier,
La vaccination et l'identification des chiens ayant un maître,
La sensibilisation et l'information de la population sur la rage, la gravité de cette maladie, les mesures prophylactiques en cas d'exposition (morsure, griffure ou léchage), l'information de la population sur la vaccination des chiens, le ramassage et l'abattage des chiens errants,
Le renforcement des campagnes de propreté et d'hygiène au niveau des abattoirs, des souks et des décharges publiques.

Lire l'article original

Toute l'actualité