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Tunisie Entretien avec Dr Tahar Sfar, vice-président du Comité technique de vaccination - Aucun risque d'infertilité avec le vaccin HPV

La presse | Tunisie | 12/03/2025 | Lire l'article original

La Tunisie s'apprête à introduire le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) dans son calendrier de vaccination. Dans le monde, plus de cent trente pays ont eu raison de croire en l'efficacité dudit vaccin en tant qu'outil performant de lutte contre le cancer du col de l'utérus. Ce dernier gagne du terrain chaque jour.
En 2022, il a été la cause du décès de pas moins de 310 mille femmes dans le monde. Dans notre pays, nous enregistrons chaque année quatre cents nouveaux cas dont 50% sont à un stade avancé... Négligeant le dépistage précoce, les femmes sont prises au piège par une maladie vilaine car silencieuse, asymptomatique et grave. Le vaccin vient, ainsi, remédier à une prévention manquante pour protéger les femmes de demain contre la maladie. Pour avoir une idée claire sur le vaccin et écarter tout préjugé, Dr Tahar Sfar, vice-président du Comité technique de vaccination, répond favorablement à La Presse.

Pourquoi le Comité technique de vaccination a-t-il choisi ce timing pour introduire le vaccin contre les papillomavirus humains (HPV) dans le calendrier de la vaccination ?

Parce qu'il y a un temps opportun à tout ! Le calendrier de la vaccination ne cesse de subir des modifications en guise d'actualisation et ce, en prenant en considération et les priorités et le budget alloué à cet effet.

En 2020, par exemple, nous avions introduit un vaccin qui avait coûté à l'Etat vingt millions de dinars. La lutte contre les méningites, lesquelles menaçaient grandement la santé infantile, avait nécessité une enveloppe de près de 50MD pour l'acquisition des vaccins. En 2019 et 2020, des cas notables d'hépatite virale A jugés comme étant sévères ont été enregistrés dans les écoles, ce qui nous avait amenés à recourir à la vaccination. La coqueluche avait repris, quant à elle, de plus belle, non seulement à l'échelle nationale mais aussi internationale, d'où l'impératif d'introduire le vaccin au profit des écoliers inscrits en première année de l'enseignement de base. C'est dire que les priorités vaccinales s'imposent par les situations épidémiologiques et selon les moyens disponibles.

Revenons au vaccin contre les HPV. Il s'agit d'un vaccin ayant pour finalité de lutter contre le papillomavirus humain, lequel est responsable du cancer du col de l'utérus dans près de 95% des cas. Ce vaccin a prouvé son efficacité et sa sécurité à l'échelle mondiale. Aussi, avant de l'introduire dans le calendrier de vaccination, avons-nous pris soin de vérifier son efficacité, sa sécurité et son impact positif dans la lutte contre le cancer du col de l'utérus.

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