Revue de presse

Le Congrès International sur le Cancer Génito-urinaire est de retour avec la 6ème édition. Organisé par l’Association Chifae pour la Prévention et la Recherche sur le Cancer, en partenariat avec des institutions de renom telles que l’Institut Gustave Roussy (IGR), la Global Society of Rare GU Tumors (GSRGT) et l’International Bladder Cancer Group (IBCG), les 16 et 17 février 2024 à Fès, il se propose de poser les premiers jalons d’une feuille de route inédite au vu de l’explosion des cas de cancer au Maroc.

Il suffit de dire cancer pour que l’angoisse soit de mise, lui attribuer un caractère génito urinaire, l’embarras s’ajoute. En 2024, il faut en parler et à haute voix. Cet événement d’envergure offre une tribune prestigieuse aux experts nationaux et internationaux en oncologie génito-urinaire pour échanger sur les récentes avancées scientifiques, les approches thérapeutiques novatrices et les meilleures pratiques en matière de prévention et de recherche sur le cancer.

L’agenda scientifique comprend des sessions spécialisées portant sur le cancer de la vessie, du rein et de la prostate, animées par des sommités mondiales du domaine. Les participants apporteront leur expertise et leur vision pour stimuler les discussions autour des avancées en pathologie, biomoléculaire, traitement périopératoire, techniques chirurgicales innovantes et algorithmes thérapeutiques de l’année 2024.

Approché par Hespress FR, Nawfel Mellas, président du congrès et chef du service d’oncologie médicale du CHU Hassan II de Fès explique : «Cette 6ème édition extraordinaire du Congrès International dédié au cancer génito-urinaire, un événement d’une importance capitale pour la communauté mondiale de la cancérologie. Cet événement met en lumière une spécialité souvent négligée mais ô combien cruciale dans le domaine de la santé : le cancer génito-urinaire, englobant les cancers de la prostate, de la vessie, des reins et des voies de séquestration. Ce congrès, réunissant des experts de renommée mondiale venus des quatre coins du globe, témoigne de notre engagement commun à lutter contre cette maladie dévastatrice qui touche 56.000 personnes annuellement ».

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