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Algérie Traitement de l’hyperactivité : les risques de dérive

El Watan | Algérie | 02/06/2007 | Lire l'article original

Par pure coïncidence, la veille de la parution de notre article sur les enfants hyperactifs, une chaîne de télévision française a diffusé une émission spécialement dédiée à cette catégorie d’enfants. Nous livrons à nos lecteurs un compte rendu synthétisé de cette émission. De prime abord, une information qui va rassurer les parents. Les spécialistes sont unanimes pour dire que l’hyperactivité n’est pas fatalement une maladie. Pour réussir à la traiter de manière efficace, ils préconisent son dépistage précoce. Toutefois, deux grands courants s’opposent quant à l’approche méthodologique à observer dans le traitement.

La méthode américaine

Aux USA, certains spécialistes préconisent un traitement sous la forme médicamenteuse. Dès le berceau, les enfants américains sont soumis au régime des anxiolytiques, somnifères et autres médicaments à base d’amphétamines. On y dénombre pas moins de 7 millions d’enfants mis sous traitement après le diagnostic délivré par un pédopsychiatre. Cette façon d’agir est dénoncée par des associations de parents et des spécialistes. L’argumentaire de leur accusation repose sur le rôle joué par le lobby des laboratoires pharmaceutiques, qui encouragent les médecins à privilégier les traitements médicamenteux. Deuxième point soulevé dans cette accusation : le lien entretenu par l’approche médicamenteuse avec l’approche du « tout sécuritaire » préconisée par le pouvoir politique. Il y a lieu de signaler que les autorités américaines préconisent le fichage des enfants dès le préscolaire. Selon eux, il s’agit, de dépister les éventuelles personnes à risque (sérial killers, pédophiles …).

L’instrument privilégié est le « test ado » qui soumet l’enfant ou l’adolescent à un questionnaire à questions fermées. Cette méthode est dénoncée avec vigueur dans la mesure où les réponses demandées n’autorisent aucune variante ou commentaire. C’est ainsi que des adolescents des plus normaux et équilibrés ont été déclarés comme étant à risque. Ils ont même été inquiétés par les autorités judiciaires. Certains Etats sont allés jusqu’à leur refuser la scolarisation. Devant autant de dérives, un mouvement est né aux USA avec comme mot d’ordre : « Educate not médicate » (éduquer et non médicaliser).

Ahmed Tessa

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