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Algérie USA : La médecine optimiste contre Alzheimer mais veut plus de fonds de recherche

El Moudjahid | Algérie | 16/05/2007 | Lire l'article original

Des médecins et dirigeants de laboratoires pharmaceutiques sont optimistes aux Etats-Unis sur le potentiel de la recherche pour vaincre la maladie d’Alzheimer mais plaident en faveur d’une mobilisation fédérale accrue pour accélérer la concrétisation des avancées médicales. "D’un point de vue thérapeutique, il est réaliste de penser que nous pourrons ralentir ou arrêter la progression de la maladie", a déclaré mardi Paul Aisn, professeur de neurologie à l’université Georgetown à Washington et grand spécialiste d’Alzheimer, devant une sous-commission du Sénat.

"Nous sommes confiants que des médicaments capables de réduire l’accumulation du peptide amyloïde dans le cerveau humain ralentiront ou arrêteront la maladie (...) réduisant considérablement son impact économique et social qui pourrait devenir désastreux avec le vieillissement de la génération nombreuse du "Baby Boom", a-t-il ajouté. La médecine estime que la mutation d’au moins trois gènes provoque la surproduction et l’agrégation de la protéine de la membrane neuronale dans le cerveau du malade et le détruit progressivement. Il n’existe pas encore de thérapie efficace contre ce mécanisme de dégénération cérébrale. "Nous avons les outils pour développer des traitements contre cela (...) faisant que nombre de thérapies prometteuses sont actuellement au stade des essais cliniques", a précisé le Dr Aisn.

Robert Essner, P-DG du groupe pharmaceutique Wyeth, a dit devant la même sous-commission que son laboratoire avait investi plus de 450 millions de dollars ces cinq dernières années dans la recherche de traitements contre Alzheimer dont douze font actuellement l’objet d’essais cliniques.

Toutes ces molécules "montrent un potentiel pour retarder, arrêter ou inverser la progression de la maladie", a-t-il assuré.
"Nous menons des recherches très prometteuses pour traiter Alzheimer ainsi que d’autres maladies neurodégénératives", a également dit aux sénateurs Donald deBrethizy, patron du laboratoire Targacept.

"Nous sommes suffisamment proches de réussir à mettre au point des médicaments réellement efficaces pour justifier notre optimisme mais la question de savoir s’il faudra quelques années ou quinze ans dépendra du montant des ressources allouées", a expliqué le neurologue de l’université Georgetown.

L’Association américaine d’Alzheimer, plus grande organisation privée pour combattre la maladie, presse le gouvernement fédéral de doubler le budget public qui est érodé par l’inflation depuis 2003, a indiqué à l’AFP l’un de ses responsables, Stephen McConnell. Des projets de loi présentés par les deux partis ces derniers mois au Congrès répondent à ces attentes en prévoyant un doublement du budget de la recherche sur Alzheimer alloués aux Instituts nationaux américains de la Santé (NIH) pour le porter à 1,3 milliard de dollars. Un texte offre aussi des crédits d’impôt pour les familles touchées et la création d’un "Sommet National" de la recherche sur Alzheimer.

Avec le vieillissement de la génération du Baby Boom, Alzheimer pourrait rapidement devenir une épidémie ruinant les systèmes d’assurance médicale, souligne M. McConnell. On estime que 500.000 nouveaux cas seront diagnostiqués annuellement aux Etats-Unis alors que 78 millions de "boomers" vont atteindre 65 ans, l’âge typique de déclenchement de la maladie, dès 2011. Il pourrait y avoir huit millions de cas en 2030 contre cinq millions aujourd’hui sans développement de traitement efficace, selon lui. Dans le monde, ce nombre pourrait passer de 24 millions actuellement à 42 millions en 2020 et 81 millions en 2040, selon de récentes estimations.

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