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Algérie Cancer du foie : les ressources financières pourraient éliminer les facteurs de risque

Algérie presse service | Algérie | 29/11/2021 | Lire l'article original

ALGER- La mise à disposition de ressources financières pour éliminer les facteurs à l'origine du cancer du foie contribueraient à atteindre les objectifs de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) portant élimination de l'infection par l'hépatite virale, a indiqué le Pr. Nabil Debzi mardi à Alger.

Le même spécialiste, également chef de service des maladies du foie au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Mustapha Pacha, a souligné lors d'une journée d'étude sur le cancer du foie, que cette maladie "serait une situation épidémiologique particulière par rapport aux autres types de cancer, car elle touche 3,3 cas pour 100 000 personnes", considérant toutefois que "ces chiffres ne reflétant pas la réalité".

Passant en revue les facteurs de risque, Pr. Debzi a cité les virus des hépatites B et C, qui se transmettent, entre autres, par voie sexuelle et par injections de sang, tandis que d'autres sont chopés en raison du non-respect des règles d'hygiène au sein des services chirurgicaux notamment dans les établissements hospitaliers. La transmission du virus de la mère au fœtus ou encore l'obésité résultant d'une mauvaise alimentation à base de graisses et de sucres figurent également parmi les facteurs de risque, a-t-il précisé.

Et de rappeler que les pouvoirs publics ont atteint un taux de vaccination élevé contre le virus de l'hépatite B, depuis les années 1990, touchant 18 millions d'Algériens, notamment après avoir inclus la vaccination dans le calendrier national de vaccination des enfants.

Si la production de traitements, au niveau local, pour l'hépatite C, a contribué à la guérison à hauteur de 95%, l'aspect préventif limitant la propagation de ces virus demeure, selon Pr. Debzi, "une fin difficile à atteindre", ce qui rend la réalisation de l'objectif 0 cas à l'horizon 2030 fixé par l'OMS "encore loin".
Le dépistage du cancer du foie est qualifié d'opération "facile et difficile à la fois", en ce sens que si la pathologie est détectée avant que la tumeur ne dépasse les 6 cm, il est possible d'y remédier, si la tumeur atteint ou dépasse les 10 cm, le virus est donc enraciné et est difficile à traiter.
De surcroît, entre 20 à 30% des cas requièrent une chimiothérapie ou une thérapie ciblée, alors que 70% des cas sont des hépatites médicamenteuses, a-t-il expliqué, faisant remarquer qu'en cas de complications, d'autres médicaments dits complémentaires sont prescrits et que ces traitements sont discutés dans le cadre d'une réunion consultative multidisciplinaire.

Par ailleurs, Pr. Debzi a souligné la nécessité d'impliquer le médecin généraliste dans le dépistage précoce de cette pathologie, insistant sur l'impératif de réviser la formation pédagogique de base des médecins afin d'intégrer de nouvelles disciplines au diapason des évolutions épidémiologiques de la société.

La transplantation des organes, dont le foie, pratiquée actuellement à l'hôpital militaire de Constantine et le centre hospitalier Pierre et Marie Curie (CPMC) d'Alger, avait certes régressé ces dernières années, mais "ne s'est pas arrêtée", a-t-il soutenu, expliquant que la suspension de cette opération au niveau du CHU de Batna était principalement due au manque de moyens.

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