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Algérie 430 diplômés de la Santé seront recrutés

Le quotidien d'Oran | Algérie | 15/04/2007 | Lire l'article original

L'enquête initiée par la direction de l'Institut technologique de santé publique d'Oran (ITSP), il y a près d'une année, afin d'estimer le taux de recrutement de ses diplômés, a conclu qu'il existe une réelle inadéquation entre les capacités de formation de cet établissement et celles des secteurs utilisateurs, notamment les structures de santé publique.

Selon M. Sahi, directeur de cet institut, cette enquête a ciblé particulièrement les promotions des années 2000, en raison de la baisse sensible en matière de recrutement. Aussitôt informé de cette enquête qui a situé de grandes défaillances pour le recrutement de milliers de techniciens formés théoriquement pour répondre à des besoins préalablement définis, le ministère de la Santé a immédiatement généralisé cette action au niveau des 35 instituts du pays. Il ressort que la wilaya d'Oran est la plus touchée par cette négation et qu'à titre de comparaison, la wilaya de Aïn-Témouchent souffre du manque de personnel paramédical pour les nouvelles structures sanitaires qui tardent à être fonctionnelles.

Seulement, le directeur de l'ITSP fera remarquer que cette situation pouvait être évitée si les recruteurs s'étaient limités à ne faire appel qu'aux TSS. Au contraire, beaucoup de biologistes ont occupé des postes au niveau des laboratoires, alors que leur formation ne répondait nullement au profil exigé. De cette défaillance est née une situation ingérable et les gestionnaires étaient contraints de mettre fin à la relation de travail en application des directives de la direction de la Fonction publique. Le dernier cas signalé est celui des 18 biologistes de l'hôpital d'El-Mohgoun.

Pour rectifier le tir, le ministère de la Santé publique, en collaboration avec le direction générale de la Fonction publique ont décidé de revenir au normatif et en octroyant près de 5.000 postes à l'échelle nationale. Pour Oran, il est prévu 430 postes au courant de l'année en cours. Dans les faits, cela se concrétisera après l'assainissement du personnel pour définir le nombre de postes à pourvoir, mais le plus grand recrutement est attendu à l'EHU, un établissement qui tarde à ouvrir grandes ses portes. Cette mesure se traduit désormais, par la participation de l'inspection de wilaya de la fonction publique qui aura à viser tous les diplômes, une manière de l'impliquer directement dans le recrutement des TSS.

D'ailleurs, une directive émanant du ministère de la Santé stipule que le diplôme n'est délivré que 5 ans après son obtention. En filigrane, cette décision n'est que le prélude au retour du service civil instauré dans le secteur de la santé publique, mais délaissé depuis plusieurs années.

Par S. Chalal

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