Accès aux sites pays Santé Maghreb en Algérie ALGERIESanté Maghreb au Maroc MAROCSanté Maghreb en Tunisie TUNISIE



encart_diam

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


encart_diam_strides

Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


vig_viral_facts


Vous souhaitez vous abonner à Médecine d'Afrique Noire, Médecine du Maghreb ou Odonto-Stomatologie tropicale ? Consulter des articles ? Rendez-vous sur le kiosque d'APIDPM - Plus d'informations


LE KIOSQUE APIDPM

Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue

Médecine du Maghreb
Consulter la revue

Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue


NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.

Inscriptions et désinscriptions


Revue de presse

Trier les actualités par :

Algérie Conseil national de déontologie de la médecine : Mise en garde contre la pratique de la Hidjama et la médecine de substitution

El Moudjahid | Algérie | 06/04/2007 | Lire l'article original

Le Conseil national de déontologie de la médecine a mis en garde, jeudi à Alger, contre des pratiques dangereuses (la Hidjama) pratiquée par des étrangers sur le territoire national sans autorisation des autorités publiques ou contrôle du Conseil. Le Dr Mohamed Bekkat Berkani, président du conseil, a affirmé lors d’un point de presse animé en marge de la deuxième session du conseil, qu’"un étranger avait sillonné certaines régions du pays proposant une formation de deux jours sur la pratique de la Hidjama au profit de médecins, du para-médical et coiffeurs en leur délivrant un diplôme pour exercer".

Le Conseil, a-t-il ajouté, avait adressé aux ministères de l’Intérieur, de la Santé et des Affaires religieuses ainsi qu’à la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) des correspondances dans lesquelles il met en garde contre cette personne étrangère prétendant guérir des maladies graves à savoir les cancers, l’hépatite et les rhumatismes.
Le Dr Bekkat a averti les médecins qui se livrent dans leur clinique à de telles pratiques de recourir à la justice dans le cas où ils n’y mettraient pas un terme.

Le conseil ne reconnaît que la médecine scientifique et les médecins diplômés des facultés algériennes ou étrangères de médecine, a noté ce responsable soulignant que le conseil ne protège que cette catégorie de médecins en cas de faute médicale.
"20 médecins polonais exerçant dans une clinique privée à Ghardaïa ne respectent pas les lois algériennes", a-t-il estimé s’interrogeant sur la manière dont cette équipe médicale perçoit son salaire (...)".

Il a ajouté qu’au moment où le jeune universitaire se retrouve au chômage, les autorités algériennes autorisent des cliniques privées à faire venir des agents de l’hygiène et des membres du corps para-médical de l’étranger.
S’agissant des nouveaux diplômés en médecine représentant 10 % de l’ensemble des médecins en Algérie (36.000 médecins), le président du Conseil a déploré le fait que l’Etat dépense des sommes "faramineuses" pour la formation de ces médecins sept ans durant pour qu’ils se retrouvent marginalisés. Il a, par ailleurs, appelé à la révision du code de la profession qui remonte aux années 1990 et à son introduction dans le code de la santé inscrit à l’ordre du jour du gouvernement et l’Assemblée populaire nationale (APN).

Lire l'article original

Toute l'actualité


CONTACTEZ-NOUS

Adresse

  • Espace Santé 3
    521, avenue de Rome
    83500 La Seyne sur mer - France

Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation

CARTE DU SITE

Actualités

Bibliothèque

Multimedia

Web médical


Site éditeur :

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !