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Algérie Réduction de 44% des amputations des membres inférieurs en 2005

El Moudjahid | Algérie | 08/04/2007 | Lire l'article original

Considérées comme un problème de santé publique, les amputations des membres inférieurs connaissent une prévalence en constante diminution en Algérie, avec un taux de 44% en 2005, ont affirmé hier des praticiens au 2ème séminaire national de dermatologie de Lad Pharma. "Nous sommes proches de la norme de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui recommande une réduction d’au moins 50% du nombre des amputations", a affirmé le Pr Samia Mimouni, du service de diabétologie du CHU Mustapha-Pacha.

Elle a rappelé que le pied du diabétique est "d’une gravité qui nécessite une prise en charge précoce et énergique afin d’éviter les risques de troubles atrophiques (amputations)".
La prévalence varie en fonction de l’âge et 25 % des malades consultent pour un problème de pied, a-t-elle déclaré.

L’amputation est "mal acceptée" par le patient. Elle entraîne une incapacité de travail et une hospitalisation prolongée entre 50 et 70 jours, a-t-elle ajouté.
Connue pour être une pathologie lourde, le diabète nécessite une politique de prévention soutenue de toutes les parties concernées (patient, famille, pouvoirs publics). Aux Etats-Unis, le traitement des diabétiques coûte annuellement 92 millions de dollars. Des statistiques de la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) de Constantine montrent que 24% des dépenses en médicaments concernent les diabétiques, alors qu’ils ne représentent que 7% de la population, selon des médecins du CHU d’Annaba.

Outre le risque d’amputation, le diabète entraîne des complications médicales graves, tels que l’hypertension artérielle (HTA), la cécité, l’insuffisance rénale et les maladies cardiovasculaires, ont affirmé des praticiens, rappelant que le risque d’infarctus du myocarde est trois fois plus élevé chez le diabétique.
Evoquant la cicatrisation cutanée, le professeur Samir Joukdar, du CHU de Douera (Alger), a estimé que la cicatrisation des plaies cutanées est "un tout" qui nécessite une "traitement de fond" sur tous les tissus. La cicatrisation, a-t-il expliqué, s’effectue en trois phases : vasculaire, inflammatoire et remodelage cicatriciel.
De son côté, le professeur Smaïl Benkaïdali, du CHU Mustapha-Pacha, a évoqué les ulcères de jambes qui sont peu fréquents en Algérie.

Toutefois, cette maladie lourde peut connaître une évolution surtout chez les femmes, dont le mode vie a changé, a-t-il averti.
"Dans le passé, les femmes travaillaient à la maison assises, actuellement, le stress aidant, elles sont constamment debout, aussi bien à la maison qu’au bureau", a-t-il fait remarquer.

Mme Ibis (Cuba) a, de son côté, longuement abondé sur les progrès de la géni-génétique à Cuba, où les laboratoires biotechnologiques ont mis au point de nouveaux cicatrisants pour les brûlures et les blessures profondes.

Ces cicatrisants, appelés "facteurs de croissance épidermique", permettent de traiter avec "efficacité les maladies de la peau très graves, tels les brûlures cutanées provoquées par des produits chimiques, électriques, radiations ionisantes, chimiothérapie", a-t-elle dit.
La cicatrisation des brûlures superficielles et profondes se fait avec une "réduction significative de temps", a-t-elle dit.

Un vaccin mis au point par les chercheurs cubains, susceptible de "réduire le taux des amputations des membres inférieurs, notamment chez les diabétiques, est en cours d’essais cliniques dans deux hôpitaux algériens, a-t-elle révélé.

Dans le cadre du partenariat entre l’Algérie et Cuba, le Dr Abdelkrim Djebbar, de Lad Pharma, a pour sa part indiqué que son groupe pharmaceutique a entamé des discussions avec des laboratoires cubains pour créer un laboratoire de recherche en biotechnologie en Algérie.

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