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Algérie Le secteur sanitaire dans la wilaya traverse une zone de turbulences : La santé dans un état comateux

La Tribune | Algérie | 25/02/2007 | Lire l'article original

Malgré le constat amer établi par le ministre de la Santé, M. Amar Tou, lors de sa visite au mois de novembre dernier au cours de laquelle il a fait le diagnostic de plusieurs établissements sanitaires dans la wilaya de Béjaïa, la situation n’a que très peu évolué en raison de la gravité des problèmes que continue de vivre le secteur. «Ce secteur est le plus sinistré dans tout le pays», avait reconnu le ministre lui-même.

Quelques changements au niveau des postes de responsabilité ont été apportés, mais cela n’a, apparemment, pas délivré le secteur du mal qui continue à le ronger. Les travailleurs et leurs représentants syndicaux sont unanimes à réclamer des changements radicaux dans le but de réhabiliter réellement la santé au niveau de la wilaya de Béjaïa.

Le Dr Derradj, représentant du Syndicat des praticiens spécialistes (SNPSSP), affirme que, depuis quelques années, la situation se dégrade de plus en plus et que le marasme actuel qui caractérise le secteur de la santé est en opposition par rapport à l’embellie financière exceptionnelle que connaît le pays.

Le grand problème, évoqué par le médecin syndicaliste, réside au niveau de la Direction de la santé et de la population (DSP) qui se distingue par son inertie et le blocage de tous les projets entrepris du temps de l’ancienne DSP.
S’il est clairement affirmé qu’il ne s’agissait pas d'un problème de personne, les différents personnels considèrent que le problème de fond concerne la mauvaise gestion du secteur de la santé par l’actuel DSP. Ironiquement, M. Derradj l’appelle «la gestion minimaliste». «On est passé d’une gestion ambitieuse à une gestion sans tableau de bord et sans plan d’action», a-t-il ajouté.

Il aurait fallu s’occuper, a-t-il noté, du développement de ce secteur au regard de la croissance démographique de la wilaya de Béjaïa qui est passée actuellement à un million d’habitants. «Les structures sanitaires doivent forcément évoluer avec la croissance démographique, or, c’est le contraire qui est en train de se passer maintenant puisqu’aucun projet d’envergure n’est envisagé par la DSP», regrette-t-il. N’ayant pas tenu compte de l’inertie caractérisant la DSP, trois structures syndicales (SNPGSP, SNPSSP et le SETSP-UGTA) ont décidé de proposer des projets de développement de ce secteur.
En prime, il y a les projets phares : création d’un CHU au niveau du chef-lieu de wilaya et réalisation de deux hôpitaux de 240 lits au niveau de Kherrata et d’Akbou.

Pour le moyen terme, les trois entités syndicales veulent qu’il y ait réhabilitation du service de médecine de l’hôpital Khellil Amrane et, par voie de conséquence, création de plusieurs unités : cardiologie, neurologie, maladies infectieuses, hématologie et rhumatologie. Dans l’immédiat, il a été souhaité la réhabilitation des unités de soins, la dotation des points d’urgence en moyens humains et matériels, la création d’un bloc des urgences médico-chirurgicales…

Toutes ces doléances auraient trouvé progressivement satisfaction si l’administration les avait préalablement prises en charge, estiment nos interlocuteurs. Mais, nous assistons à une situation tout à fait contraire à ce que l’on pourrait s’attendre.
Le docteur Khallef, représentant du SNPGSP, a déclaré que le ministère est plutôt favorable à l’inscription de plusieurs projets, mais il faudrait, cependant, qu’ils soient âprement défendus par la DSP. Là est le hic.

Par Kader Sadji

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