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Algérie Un plan national d’urgence de lutte lancé le mois en cours - 30 000 infections de leishmanioses enregistrées à travers le pays en 2005

La Tribune | Algérie | 02/03/2006 | Lire l'article original

Devenue en 2005 un problème majeur de santé publique en Algérie avec 30 000 cas décelés dans 26 wilayas, la leishmaniose nécessite aujourd’hui, un plan national d’urgence multisectoriel de lutte. Ce dernier sera mis à exécution à partir de ce mois de mars, a déclaré, hier à Batna, le Dr Mohamed Ouahdi, directeur de la prévention au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. «Touchant d’abord six wilayas, puis huit, ensuite dix-huit et aujourd’hui 26, les leishmanioses font tâche d’huile dans le pays dont l’ensemble des wilayas risquent, à ce rythme de progression, d’en être contaminé», a averti ce responsable.

Intervenant lors du séminaire régional sur la prévention des leishmanioses regroupant des cadres de 13 wilayas de l’Est algérien, le Dr Mohamed Ouahdi a affirmé encore que la lutte contre cette maladie, prenant la dimension d’une épidémie «serait inefficace si elle venait à être réduite au seul traitement médicalisé». Autrement dit, une mobilisation intersectorielle qui met à contribution les techniciens et services de l’environnement, de l’agriculture, de la santé, les vétérinaires, les instituts spécialisés et les services de l’urbanisme, est nécessaire. Le Dr Harrat, de l’Institut Pasteur d’Algérie, estime, de son côté, que «les leishmanioses constituent désormais en Algérie un problème majeur de santé publique avec 30 000 infections enregistrées à travers le pays en 2005», soit presque une fois et demi le nombre des 24 145 cas signalés entre 2000 et 2004. La facture dépensée par les pouvoirs publics pour les seuls soins dispensés à ces malades a atteint 120 millions DA durant la seule année passée, soutient le même médecin. «L’Institut Pasteur d’Algérie a analysé, ajoute Dr Harrat, l’existence de trois formes de leishmaniose en Algérie. Il s’agit du leishmania infantum observé dans les wilayas du Nord, du leishmania major dans celles du Sud et du leishmaniose viscérale diagnostiquée à Tizi Ouzou».
La leishmaniose viscérale est la plus virulente et dangereuse de ces trois formes. Transmise par les chiens, elle frappe surtout les enfants avec un taux de mortalité de 6% dans la wilaya de Tizi Ouzou, a précisé le même intervenant.

Hasna Yacoub

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