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Algérie 20% des projets de recherche consacrés à l’immunologie

El Moudjahid | Algérie | 15/01/2007 | Lire l'article original

Le Réseau national en immunologie a organisé, hier à Alger, une réunion d’évaluation et de synthèse en vue de l’élaboration d’un programme national et d’une stratégie de recherche en immunologie. Lors de cette réunion, qui fait suite aux rencontres régionales Est, Ouest et Centre ayant regroupé les enseignants et les chercheurs de la spécialité relevant des structures universitaires et hospitalières, les participants ont "déploré le manque de ressources humaines et d’équipements spécifiques".

Dans ce sens, la directrice générale de l’Agence nationale pour le développement de la recherche en santé (ANDRS), Mme Zahia Mentouri a insisté sur le "développement des réseaux de base avec les laboratoires de recherche dans les universités et les établissements de santé", tout comme elle a "insisté sur la formation des ressources humaines" dans ce domaine.
Elle a également indiqué que l’objectif de ce Réseau consiste à "établir des ponts entre différentes structures de la santé, en immunologie, avec l’Institut Pasteur d’Algérie" qui reste, a-t-elle dit, "un pôle d’excellence". Mme Mentouri, a par ailleurs fait savoir que sur les 382 projets de recherche dans le secteur de la santé, 20% sont consacrés par l’ANDRS, à l’immunologie, alors que les projets de recherche en sciences biologiques impliquant l’immunologie représentent 80%.

Le ministre de la Santé de la population et de la réforme hospitalière, M. Amar Tou, qui était présent à cette réunion, a indiqué que le ministère délégué à la Recherche scientifique dispose d’un budget "important" de 100 milliards DA sur dix ans. De son côté, la ministre déléguée à la Recherche scientifique, Mme Souad Bendjaballah a mis l’accent sur "l’approfondissement" de la recherche scientifique de base à l’université, le suivi de la formation des praticiens et des chercheurs "dans le but d’améliorer les soins chez les malades".

Les travaux de la réunion du Réseau national en immunologie, installé le 23 juillet 2006, se sont poursuivis avec la mise en place de trois ateliers traitant des axes prioritaires, dont, la formation des ressources humaines et les équipements.
Assurer de meilleurs diagnostics, qualité de soins et prise en charge des malades, tels sont les objectifs principaux assignés à la recherche en immunologie, dont 20% des projets de recherche y sont consacrés.

C’est ce qu’a indiqué la ministre déléguée chargée de la Recherche scientifique, Mme Souad Bendjaballah, en marge des travaux de la réunion du réseau national en immunologie, tenue hier, au siège de l’Institut Pasteur de Dély Brahim.
Dans ce cadre, la ministre a rappelé que la mission du ministère chargé de la Recherche est de construire les compétences, les réunir et les accompagner dans l’élaboration du programme national de recherche. A cela, vient s’ajouter l’identification des objectifs et des moyens de mise en œuvre du programme dans sa totalité, tout en les mettant à la disposition du secteur qui en est l’utilisateur, à l’instar de la santé, avec pour objectif l’amélioration de la qualité des soins. Il est à retenir, a-t-elle fait remarquer, que le ministère dispose d’une loi régissant la recherche scientifique et dispose aussi d’un budget important de 100 milliards de dinars sur 10 ans.

L’accompagnant de la recherche se fera à travers le point focal qui est l’Institut Pasteur, chargé d’être le réceptacle du réseau national de recherche en immunologie, en coordination avec les différents lieux et sites identifiés à l’est et à l’ouest. Mme Souad Bendjaballah relève également que son département et celui de la santé sont actuellement dans une logique de décloisonnement entre les universités, les facultés de médecine et les CHU, dans la perspective d’approfondir la recherche fondamentale, mieux former les praticiens et améliorer la qualité des soins.

«La recherche doit être au service du développement et le ministère de la Santé doit améliorer la qualité des soins dans le cadre d’une synergie totale entre les deux secteurs», a-t-elle précisé.
La ministre de la Recherche scientifique a évoqué l’importance du volet coopération et du volet formation de 500 doctorants et de 300 praticiens concernés par le programme, «nous ferons appel à nos collègues qui sont de l’autre côté et nous ferons appel à la coopération, c’est un programme qui est ouvert».

De son côté, le ministre de la Santé, Amar Tou, a souligné que la santé «c’est d’abord un bon diagnostic, un meilleur traitement du malade et une meilleure prise en charge impliquant une réduction du séjour à l’hôpital et une baisse des coûts de la santé».
Quant à la relation du secteur de la santé avec les universités, le ministre soutient qu’il faut trouver la formule idoine pour mener cette recherche aussi bien à l’université qu’aux hôpitaux, en s’appuyant sur les ressources humaines qui travaillent au niveau des universités et des hôpitaux.

«La santé utilise les mêmes professeurs et pour la formation et pour les soins. La même chose doit avoir lieu pour l’utilisation des équipements qui servent à la recherche, il faut plus considérer l’installation d’un équipement dans un hôpital ou dans une université comme étant une exclusivité pour l’une ou l’autre partie, au contraire c’est un bien financé par le budget de l’Etat qui doit servir aussi bien l’université que l’hôpital», a-t-il indiqué.

Farid B.

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