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Maroc Insuffisance rénale chronique : Pour une politique volontariste de don et de prélèvement d’organes

L'Opinion | Maroc | 19/02/2006 | Lire l'article original

Au Maroc, à l’heure actuelle, environ 5000 personnes souffrant d’insuffisance rénale, sont dialysées et environ 120 ont été transplantées dans les CHU de Casablanca et de Rabat. 1200 patients arrivent sur le marché marocain des soins nécessitant une dialyse.
Il est impératif d’augmenter le nombre de transplantations rénales, qui est le meilleur traitement de l’insuffisance rénale, qui assure une qualité de vie et permet une réhabilitation au malade.

Pour cela, il est nécessaire de promouvoir une politique volontariste de don et de prélèvement d’organes et d’avoir les moyens de ces ambitions, d’autant plus que les équipes médico-chirurgicales marocaines sont au standards internationaux et que tous les textes législatifs en rapport avec le prélèvement et le don d’organes ont été publiés.
L’insuffisance rénale est un terme qui désigne l’altération plus ou moins importante du fonctionnement des deux reins. Les causes en sont multiples. Elle apparaît lorsque les deux reins sont détruits à plus de 80 %. Elle est dite chronique lorsqu’il n’existe plus de possibilité de récupération.
Le pronostic de cette maladie, encore mortelle dans les années 60, a été révolutionné par l’invention du rein artificiel ou hémodialyse qui a permis de remplacer la fonction d’épuration des reins lésés. Dans les années 80 est apparue une autre technique, la dialyse péritonéale.
Très rudimentaire au début, ouverte à peu d’élus, la dialyse s’est rapidement développée dans les années 70, et s’est améliorée au fil des découvertes, pour permettre le traitement de plus en plus de malades, de plus en plus âgés et souffrant éventuellement de pathologies graves associées.

En parallèle, se sont développées les connaissances sur la maladie, le rein et ses fonctions (d’épuration, mais aussi de régulation de la pression artérielle, et de sécrétion hormonale), sur les traitements à associer à la dialyse pour améliorer l’état de santé des malades et donc leur qualité de vie.
Dans le même temps, se développait une autre thérapeutique de l’insuffisance rénale chronique, la transplantation rénale.
Cette maladie, dont le traitement est coûteux pose un grave problème à la fois économique et de santé publique, d’autant plus que le nombre de malades traités augmente régulièrement du fait du vieillissement de la population générale, et du fait de la meilleure qualité du traitement, qui augmente la durée de vie des malades en dialyse.
Il est donc impératif d’améliorer la prévention de l’insuffisance rénale, de rationaliser le coût du traitement, en limitant les dérives financières, tout en préservant sa qualité.

Comment prévenir l’insuffisance rénale chronique ?

Il faut dépister les maladies rénales avant le stade de l’insuffisance rénale chronique par la réalisation de façon régulière de certains examens qui renseignent sur l’état de fonctionnement des reins. Dont notamment, l’utilisation large des bandelettes urinaires (protéinurie, hématurie), la mesure de la pression artérielle, le dosage de la créatinine dans le sang, le dosage de la glycémie et le dépistage des malformations de l’appareil urinaire ...
Pour diagnostiquer l’insuffisance rénale chronique installée, c’est le dosage de la créatinine et surtout essayer d’identifier la cause, par ’imagerie rénale qui est un des moyens de cette identification parmi d’autres, y compris la biopsie rénale. Afin d’apprécier la sévérité et l’évolutivité de l’insuffisance rénale chronique, le dosage de la créatinine dans le sang et l’étude de son évolution ainsi que le calcul de la clairance et la recherche de facteurs péjoratifs (hypertension artérielle, protéinurie importante) sont de véritables sonnettes d’alarme...

Dr. T.S. et Dr. A.C.

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