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Algérie 20% des déchets issus des soins de santé présentent un caractère dangereux

El Moudjahid | Algérie | 29/10/2006 | Lire l'article original

La région d’Alger compte des centaines d’entreprises qui génèrent près de 50.000 tonnes de déchets spéciaux par an et qui en stockent plus de 350.000 tonnes. La plupart d’entre-elles les évacuent à la décharge publique ou les stockent in situ dans des conditions non conforme à la réglementation. Pourtant la loi du 12/12/2001 relative à la gestion, au contrôle et à l’élimination des déchets, ainsi que les dernières décisions du ministère de l’Environnement, par les entreprises productives, interpellent l’ensemble des professionnels, tous secteurs confondus, à intégrer dans leurs objectifs, le traitement des déchets.


Les produits chimiques utilisés en milieu professionnel sont aussi nombreux que les déchets. Ils sont constitués par la matière première ou résultent de la dégradation de celle-ci. Ils sont liés aux produits radioactifs, au risque généré par l’incinération des déchets, à l’amiante et aux activités de soins.  Ces dernières contiennent des déchets produits par les soins de santé et qui sont généralement mal traités et mal gérés.

Selon l’OMS, 20% des déchets produits par les soins de santé, sont considérés comme dangereux. Ils contiennent du matériel qui peut être infectieux, toxique ou radioactif.
Toujours selon les données de l’OMS, 8 à 16 millions de cas d’infection par le virus de l’hépatite B, 2,3 à 4,7 millions de cas d’infection par le virus de l’hépatite C et 80.000 à 100.000 cas d’infection par le VIH sont provoqués chaque année par la réutilisation d’aiguilles non stérilisées. Ces infections seraient limitées si les seringues étaient éliminées de façon sûre.
D’autre part une mauvaise gestion du déchet hospitalier entraîne un risque accru de contamination par ces germes pour le personnel hospitalier et le personnel chargé de collecter le déchet.

Dans une étude française menée sur une population de 144.000 salariés travaillant dans des collectivités locales, 276 accidents d’exposition au sang ont été recensés dont 5 associés à une hépatite virale B. Les risques sont maximaux lorsque la prévalence est élevée dans la population générale.

Une enquête menée au secteur sanitaire de Rouiba retrouve une séro-prévalence de l’hépatite C de 56% parmi les malades pris en charge par l’unité d’hémodialyse, grande utilisatrice de consommables et donc génératrice de quantités importantes de déchets contaminés qui sont autant de facteurs de risque pour le personnel soignant et le personnel d’entretien.  3 cas d’hépatite C, ont été déclarés en maladie professionnelle chez les agents de service.

La prise en charge de l’accident exposant au sang est codifiée (désinfection immédiate, sérologie initiale, suivi évolutif à la recherche d’une séroconversion, déclaration en accident du travail…) et fait l’objet d’un affichage dans les structures de santé.

Actuellement, on ne dispose que du vaccin contre l’hépatite virale B, intégré dans le programme élargi de vaccination (PEV). Cette vaccination est rendue obligatoire depuis avril 2000 pour le personnel du secteur de la santé et depuis janvier 2001 pour les nouveau-nés, selon un nouveau schéma vaccinal (0-1 et 6 mois).

Sarah Sofi  

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