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La Tribune | Algérie | 13/03/2011 | Lire l'article original
Du coup, la liste d’attente pour une transplantation éventuelle ne cesse de s’allonger ! Quoique la greffe ne soit pas pratiquée systématiquement à tous les insuffisants rénaux, on estime à 20% le nombre de patients concernés par ce type d’opération, déclare le professeur Dahdouh, néphrologue à l’EHS Daksi. La greffe rénale observe un temps de relâche. Et pour cause, on reste en attente de la mise en place de l’agence nationale de dons d’organes. L’établissement n’aura donc eu à effectuer aucune transplantation en 2010. Pourtant, 40 opérations y était déjà programmées. N’empêche qu’il faudrait développer les critères de la transplantation à partir de cadavres, estime notre interlocuteur.
Par ailleurs, des centres de prise en charge d’hémodialyse sont à prévoir également dans l’Algérie profonde. Certes, l’EHS Daksi, pour ne parler que de Constantine, accueille actuellement les malades des régions limitrophes, mais jusqu’à quand ? Sur un autre chapitre, la prévention et la sensibilisation constituent le maillon faible de cette pathologie. A l’échelon local, en effet, peu d’intérêt serait accordé à la prévention. Même topo à l’échelle nationale, si on excepte le combat mené presque en solo par la Société nationale de néphrologie, dialyse et transplantation (Snadt) qui a reconfiguré la problématique en alertant les pouvoirs publics pour une meilleure prise en charge.
Nasser Hannachi
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