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Algérie Situation sanitaire à Oum El Bouaghi : recrudescence inquiétante de la tuberculose

El Watan | Algérie | 17/02/2011 | Lire l'article original

Les causes de la propagation de cette maladie sont toujours là : la pauvreté, le manque d’hygiène et l’insalubrité des habitations. Qu’elles soient pulmonaires ou extra-pulmonaires, les tuberculoses connaissent une recrudescence dans la wilaya d’Oum El Bouaghi. Pourtant, on s’était félicité durant les années 1980 de leur quasi-éradication; l’on n’avait enregistré à cette époque que quelques rares cas, dont les causes sont la pauvreté, le manque d’hygiène et l’insalubrité des habitations.

En 2010, les services de santé de la wilaya ont dépisté 250 cas de tuberculose pulmonaire et extra-pulmonaire, ce qui inquiète les services publics, sachant que la prise en charge des malades est des plus onéreuses. Nous apprenons, par ailleurs, durant la même période, qu’on avait diagnostiqué 118 cas d’hépatite virale, dont 50 de type C.

Comparativement à 2009, cette pathologie a connu une certaine régression, passant de 89 à 50 cas. Il n’empêche que cette maladie requiert des soins aussi longs que coûteux. L’autre pathologie qui ne semble pas reculer, est la brucellose. Les services d’hygiène ont dépisté 115 cas à travers les 29 communes de la wilaya. Pourtant, des campagnes ont été menées tambour battant par tous les services concernés à l’effet de mettre en garde les citoyens contre la consommation de lait cru. Concernant la méningite, purulente ou non, l’on a enregistré 26 cas. Pour la leishmaniose, il y a eu 10 cas. Ce qui est positif, c’est qu’au cours de cette même année, l’on n’a signalé aucun cas de fièvre typhoïde, comme ce fut le cas par le passé. Peut-on dire pour autant que cette maladie hydrique soit complètement éradiquée ?

Selon le Dr Djebaïli, chef de service de la prévention, «en 2010, il a été enregistré 280 cas de tuberculose dont 132 de type pulmonaire, en 2009 282 et en 2008 un peu moins». Elle ajoutera que «tous les malades ont été pris en charge par les infrastructures sanitaires, lesquelles sont au nombre de 5». Les résultats enregistrés sont-ils positifs ? «En 2010, nous n’avons enregistré que 14 cas de rechute et 4 décès. Tous les autres ont été déclarés guéris», a-t-elle répondu. Concernant les objectifs que s’est assignés le secteur pour venir à bout de ce terrible fléau, elle dira ceci: «Le premier objectif consiste à en réduire la morbidité et la mortalité. Le programme comporte aussi la vaccination (BCG), ainsi que l’identification des cas de tuberculose à macroscopie positive existante dans la société. Les cas de tuberculose avérés sont, comme avancé plus haut, traités au niveau des unités de contrôle de tuberculose et maladies respiratoires (UCTMR), lesquels disposent d’un laboratoire de microscopie.

L’autre volet du programme consiste en une enquête à mener dans l’entourage du malade, afin de lui éviter la contagion.» L’autre maladie qui cause des ravages, est l’hépatite, notamment de types B et C. Notre interlocutrice précisera ainsi : «Nous nous référons à l’instruction ministérielle du 2 novembre 2010 pour assurer une prise en charge adéquate des malades au niveau des services spécialisés de l’EPH dont ils dépendent; il y a ensuite une surveillance médicale régulière assurée par un accompagnement et un soutien psychologique adapté pour les malades. De même, ils sont soumis à des examens de contrôle réguliers.»

Baâziz Lazhar

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