Revue de presse

Dotée d’un personnel médical étoffé, à savoir huit médecins spécialistes dont deux anesthésistes-réanimateurs, huit médecins généralistes titulaires et quatre autres issus du dispositif du pré-emploi, la polyclinique Boumerzoug est malheureusement pénalisée par un déficit de quatre paramédicaux. «Très insuffisants par rapport aux besoins exprimés», dira à ce propos le Dr Nadjib Arab, directeur de l’établissement public de santé de proximité (EPSP) Bachir Mentouri, tutelle directe de la polyclinique Boumerzoug. Notre interlocuteur mettra en exergue la qualité et la diversité des prestations proposées aux patients. A commencer par la mise en place d’une unité de diabétologie en mesure de satisfaire, à tous points de vue, à une prise en charge optimale des diabétiques, analyses spécifiques comprises. L’accent est mis aussi sur le service des urgences, lequel est équipé d’un défibrillateur, d’un moniteur de surveillance, d’un électrocardiographe et d’un respirateur.

Quand au plateau technique mis en place pour répondre aux exigences d’une bonne qualité de service, mais également faire face à une demande en hausse exponentielle, il comporte, entre autres, un rétinographe dernière génération, un angiorétinographe unique en son genre à l’échelle de toutes les structures sanitaires de l’Est du pays, un échographe, des équipements de radiologie standard, en sus d’une radio dentaire de type panoramique. Il est proposé également aux patients des consultations en gynécologie, médecine générale, chirurgie dentaire, chirurgie générale, pédiatrie, ophtalmologie et psychiatrie.

Ahmed Boussaïd

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