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Algérie Une doléance de l’Ordre des pharmaciens : un statut pour le pharmacien industriel

El Watan | Algérie | 11/10/2010 | Lire l'article original

Les pharmaciens industriels réclament «un statut de décideur» afin de jouer un rôle plus efficient dans la restructuration du secteur promise par le ministre de la Santé. C’est là l’une des doléances émises hier à Alger par les représentants de l’Ordre des pharmaciens réunis pour le premier forum de la pharmacie industrielle. Organisé conjointement par l’Ordre des pharmaciens et l’agence DZ Link qui en a profité pour lancer le premier numéro de la revue pharmaceutique PharmalinkA, ce forum a été l’occasion pour les professionnels du secteur de discuter des «problèmes structurels» qui caractérisent le segment du médicament en Algérie. Dans la mesure où le gouvernement espère amener la production du médicament à hauteur de 70% à l’horizon 2014 (contre 30% actuellement), les pharmaciens veulent s’impliquer davantage dans le circuit de la production.

«Il est important que le gouvernement dote le pharmacien d’un statut de décideur par une réglementation en bonne et due forme dans le but d’atteindre l’objectif de productivité et de qualité», a estimé M. Touafek, vice-président de l’Ordre des pharmaciens. Pour l’heure, les pharmaciens industriels n’ont pas accès aux postes de responsabilité. L’Ordre des pharmaciens plaide pour la création de l’agence du médicament qui devrait jouer le rôle de régulateur.

Crise de croissance

Le fait est que de nombreux paramètres parasitent la bonne régulation du marché. «Les pénuries enregistrées ces derniers mois sont liées, d’après le diagnostic du président de l’Ordre des pharmaciens, Dr Benbahmed, à une crise de croissance.» «Les laboratoires doivent avoir au moins trois mois de stock, mais cela n’est pas possible vu les conditions actuelles», a expliqué le responsable de l’Ordre des pharmaciens en marge du forum. Il précisera que dans la mesure où il est difficile d’avoir les statistiques d’une molécule, les professionnels du secteur ne peuvent faire de prévisions.

Le secteur des médicaments subit ainsi une «crise de croissance», selon la formule du représentant des pharmaciens, dont les conséquences se manifestent par des ruptures de stocks ainsi que de nombreux dysfonctionnements.
Sur le chapitre de la distribution, les dysfonctionnements s’amoncellent et les brèches existantes dans la réglementation sont criantes. «Il faut des normes dans le segment de la distribution. Avec la libération du marché, la distribution a été accordée au premier venu», commente M. Benbahled.

Pour ce qui est de la nouvelle circulaire du Premier ministre sur la distribution dont le responsable de l’Ordre des pharmaciens affirme ne pas en connaître les détails, l’Ordre des pharmaciens est d’avis qu’il faut éviter d’affaiblir les producteurs algériens. «Le fait d’autoriser les producteurs à se mettre dans la distribution est une bonne chose. Mais les obliger serait une erreur car cela pourrait créer un problème de disponibilité», confie-t-il.

Il est à rappeler, à ce propos, que le Premier ministre vient d’interdire aux grossistes de distribuer les produits fabriqués localement. Les laboratoires installés en Algérie seront désormais contraints de s’organiser en vue d’acheminer eux mêmes leurs produits aux officines. A en croire l’analyse du représentant de l’Ordre des pharmaciens, les phénomènes spéculatifs sont intimement liés aux problèmes qui minent le secteur. Aussi, est-il nécessaire, soutient-il, d’établir une charte du comportement pour moraliser la profession. Le médicament, dit-il, ne doit pas être traité comme un produit anodin.

Amel Blidi

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