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Algérie Clinique rénale (EHS) de Daksi à Constantine : Arrêt de la greffe et climat délétère

El Watan | Algérie | 25/09/2006 | Lire l'article original

Alors que la greffe rénale se trouve à l’arrêt depuis plus d’un mois, pour des raisons que le directeur de l’établissement hospitalier se refuse à divulguer, les plaintes et autres affaires de justice ne cessent d’émailler le quotidien devenu tumultueux des travailleurs de la clinique.

Ainsi, et après sa prise de fonction, le nouveau directeur, affichant la ferme volonté de tout changer, sans ménagement aucun, n’a pas manqué de congédier tout bonnement des employés qui cumulent plus de huit années d’ancienneté. Sanctions, mises à pied, menaces et disons-le échanges de gnons, relation de travail pour le moins conflictuelle.

La presse locale a, pour sa part, et à maintes reprises, relevé la manière forte et le manque de souplesse qui semblent être à l’origine des divergences multiples entre la direction et les travailleurs. Les contrats de travail délivrés à ces employés rendent leur situation sociale des plus frileuses, du fait qu’ils restent non renouvelés depuis des années, et du fait troublant qu’ils les consignent au statut malencontreux de journaliers, que les instances mais surtout tout l’arsenal législatif restent incapables de protéger. Le directeur de l’établissement, au lieu de tenter de remédier un tant soit peu à ces incohérences de relation de travail, s’en va plutôt résilier ces contrats de la honte pour les remplacer par des contrats payés à l’heure – plus honteux encore – rendant la situation de ces travailleurs encore plus précaire.

Ainsi, le jeune M. Bedjeghit, handicapé moteur qui plus est, se retrouve évincé de son poste de standardiste au motif peu sérieux de connivence avec des éléments fauteurs de troubles. Ayant servi avec dévouement pendant plus de dix ans, il se retrouve aujourd’hui destiné à aller garer ses reins ailleurs, alors qu’il était en attente d’une nomination légitime et définitive à son poste.

L’actuel directeur de la clinique semble convaincu de son audit ; il inscrit au chapitre « des sacrifices nécessaires » – même s’ils sont douloureux pour les autres – les changements qu’il préconise pour assurer une relance de la clinique, cependant que nous restons en droit de nous interroger sur ce climat délétère. Est-il à même de permettre une reprise sérieuse de la greffe rénale tant et tant de fois promise ? Et n’est-il pas des plus pénalisants pour les malades qui, nombreux déjà, s’inquiètent du prolongement très regrettable de cette situation.

Djamel Belkadi

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