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Algérie Enquête sur l’hypertension artérielle en Algérie : les femmes plus touchées que les hommes

La Tribune | Algérie | 16/05/2010 | Lire l'article original

L’hypertension artérielle touche de plus en plus d’Algériens et de sujets jeunes. Longtemps silencieuse, elle peut entraîner des complications très graves : infarctus, attaques cérébrales… En termes de prévalence des maladies chroniques, l’hypertension artérielle (HTA) occupe la première place en Algérie, suivie du diabète. Ils ont été les deux thèmes phares au cœur des quatrièmes Journées internationales de diabétologie de Constantine. L’examen des différents types de maladies chroniques révèle que l’HTA occupe la 1re place avec un taux de 4,4%, suivie des maladies diabétiques avec 2,1%, indique l’enquête, parrainée par le ministère de la Santé, et conduite par l’Office national des statistiques (ONS) avec la collaboration de certaines organisations onusiennes spécialisées.

D’après cette enquête, il existe une prédominance de ces maladies chez la population féminine plus que chez la population masculine (12,6% contre 8,4%). La répartition par régions montre, quant à elle, que c’est au centre et l’est du pays que se présentent les plus fortes prévalences avec respectivement 11,3 et 11,2%. C’est en 2009 que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu l’hypertension artérielle comme maladie chronique et c’est donc à partir de l’année dernière qu’on a commencé à faire de cet événement une journée mondiale, le 14 mai de chaque année. La prévention de cette maladie qui n’est pas du tout anodine demeure primordiale. Selon les spécialistes, beaucoup de personnes sont hypertendues et ne le savent pas. En général, l’hypertension artérielle ne présente aucun symptôme susceptible d’alerter le malade.

La généralisation des appareils de mesure de la pression artérielle permet de surveiller sa tension dans les conditions de sa vie quotidienne. Toutefois, certains signes font suspecter une hypertension artérielle, comme les maux de tête le matin sur le sommet ou derrière la tête, les étourdissements, les troubles visuels : mouches volantes, brouillard devant les yeux, une fatigue, des saignements de nez, des hémorragies conjonctivales, des crampes musculaires, une pollakiurie (envie fréquente d’uriner), une dyspnée (gêne respiratoire traduisant une insuffisance ventriculaire gauche). Il est donc important de rester vigilant au moindre signe. Notons que les quatrièmes Journées internationales de diabétologie de Constantine, organisées par le service de médecine interne du CHU de Constantine ont rassemblé plus de 300 praticiens au centre culturel Malek Haddad et ont été encadrées par d’éminents experts algériens et étrangers, dont le professeur Serge Halimi, président de l’Association de langue française pour l’étude du diabète et des maladies métaboliques. Le professeur a mis en exergue les risques cardio-vasculaires et rénaux de cette maladie chronique redoutable. Selon lui, «l’hypertension est attribuable à une trop grande pression du sang sur la paroi des artères qui fait que l’appareil cardio-vasculaire doit travailler plus fort». «A terme, dit-il, cela peut endommager les vaisseaux sanguins de tout l’organisme.» S’agissant des traitements en vogue, le conférencier a évoqué «Cozaar, Hyzaar et Fortzaar dont la maîtrise de la tension artérielle est inégalée par les autres antagonistes des récepteurs de l’angiotensine (ARA) et qui sont, selon lui, prescrits aux patients qui ont besoin d’une maîtrise accrue de leur hypertension».

Abordant le diabète, Serge Halimi, qui est également chef de service au CHU de Grenoble en France, a présenté hier une communication sur la place des inhibiteurs de DPP4 dans la prise en charge des diabétiques de type 2 qui représentent 90% des diabétiques diagnostiqués. Concernant le nombre sans cesse croissant des diabétiques, le spécialiste français a estimé que 30% d’entre eux auront des complications invalidantes et dans certains cas mortelles. Ainsi, d’après lui, le diabète est l’une des principales causes de cécité, d’amputations non traumatiques, d’insuffisance rénale et d’accidents vasculaires cérébraux. Evoquant les résultats présentés à la réunion annuelle de l’American Diabetes Association (ADA), il citera Januvia qui est, dit-il, «le premier et le seul inhibiteur de la DPP4 qui présente un meilleur profil de tolérabilité pour que les patients parviennent à maîtriser leur diabète. Toutes les études scientifiques associent Januvia à une baisse de 93% du risque de présenter un événement hypoglycémique.» Ce traitement qui est indiqué dans la prévention des complications cardio-vasculaires en cours d’enregistrement en Algérie est disponible dans 86 pays actuellement.

Par Amel Bouakba

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